Annoncé "que" depuis le mois de janvier, seulement quelques jours après la sortie de Bayonetta en occident, Vanquish se dévoile enfin au grand public par le biais d'une démo sur le Xbox Live.
Le poids de cette démo faisait un peu peur de prime abord : 450 MB, ça fait léger comparé aux habituels 1/1,5 GB que font la plupart des démos. Une fois la démo de Vanquish installée, le jeu se lance...
L'écran titre donne une vue imprenable sur la colonie spatiale qui sera le théâtre des affrontements entre les vilains russes et les gentils américains. Avant toute chose, direction les options. On y découvre toutes sortes de réglages habituels dans un jeu de shoot : l'inversion de caméra horizontale/verticale, l'activation des vibrations et bien d'autres encore. Nous trouvons également un choix parmi deux configurations de manette possible (la principale différence étant le positionnement des actions sur les boutons L et R). Dernière option et pas des moindres : le jeu nous offre la possibilité de régler les voix, le texte à l'écran, ainsi que les menus avec les versions françaises, américaines, japonaises, etc. Une possibilité de choix très sympathique pour les habitués des doublages nippons très professionnels, des grosses voix à l'américaine ou pour les allergiques aux langues étrangères.
Maintenant que nous avons bien fouiné dans les menus, nous voilà parti pour le didacticiel. Comme l'on pouvait s'y attendre, l'apprentissage de l'ARS (Armure à Réaction Surdéveloppée) se passe dans une salle confinée où les autres scientifiques vont nous faire passer différents tests pour bien apprendre le maniement de notre armure.
Concrètement, ce cher Sam est capable de pas mal de choses grâce à son armure top-secrète. Tout d'abord, sachez qu'à cause du poids évidemment élevé de l'armure, sauter ne sera pas au menu des capacités offertes. En revanche, nous pourrons utiliser un réacteur dorsal qui nous propulsera à une allure folle. L'intérêt est typiquement défensif : le réacteur s'avère extrêmement utile pour échapper à un feu trop nourri ou afin d'atteindre un point idéal pour allumer copieusement ses adversaires. Oubliez tout de suite l'idée de vous en servir comme système offensif, viser correctement lorsque le soldat américain est collé au sol à cause de la puissance du réacteur relève de la gageure. C'est là que Platinum Games va permettre aux joueurs qui aiment prendre un peu leur temps d'aligner plusieurs headshots bien sentis grâce à une fonction de "ralenti" à la Matrix (qu'on appelait Bullet Time à l'époque).
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