500 000 en trois semaines ? Sony signe.
"Sérieusement, cela m'effraie que certaines personnes puissent penser que le lancement japonais est un flop. Franchement, ils en ont vendu 500 000 en trois semaines." Cette phrase, nous la devons à Jack Tretton, le big boss de la branche américaine de Sony Computer Entertainment. Comme beaucoup, il attend les premiers chiffres de ventes de la PSVita sur ses terres avec impatience. Mais, contrairement aux pessimistes et autres oiseaux de mauvais augure, il se veut confiant sur le succès de la console portable. Et pour ça, il s'appuie sur les précommandes, aussi bien de machines que de cartes mémoire et jeux. De toute façon, nous aurons les confirmations de ces prévisions bien assez tôt.
À en croire Jack Tretton, la PSVita a un cycle de vie de 10 ans, ce qui laisse sous-entendre un long terme plus prolifique qu'un court terme, dans le sillage de la PSP. Sony fait donc du Sony.
Les cartes mémoire sont très, très plébiscitées, malgré le fait qu'elles soient incluses dans beaucoup d'offres de précommande. Apparemment, les jeux suivent de très près.
Ça, c'est pour les produits additionnels.
Je serais ravi de vendre 500 000 consoles dans les trois premières semaines, aux États-Unis. Je pense que c'est un chiffre sain pour le lancement d'une nouvelle plateforme. J'ai été impliqué dans tous les lancements de produit depuis 1995, j'ai donc suffisamment de recul pour juger et en termes de retombées presse, de marketing et de merchandising disponible dans les magasins, je pense que nous avons les meilleurs ingrédients pour réussir.
Jack Tretton fait référence ici au Japon.
Pour nous, le succès est défini par la pénétration du grand public, pas uniquement par les core gamers mais aussi par les plus jeunes, les plus âgés, les hommes, les femmes de manière à être pertinent sur l'échelle mondiale et ne pas être incroyablement puissant sur un segment et inexistant sur les autres.