MAJ 3 - Destiny : Le Roi des Corrompus - Carnet de bord de notre équipe de spécialistes maison

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Paramètres du carnet de bord après une semaine de jeu :

• Dimanche 20 septembre : 10 heures de jeu

• Assaut : 3
• Patrouille : 2
• Raid : 1 (La Chute du Roi, 4ème phase)
• Niveau 40, lumière moyenne : 295

• Mardi 22 septembre : 14 heures de jeu

• Assaut : 4
• Patrouille : 5
• PvP : 1
• Raid : 1 (tout le raid jusqu’à Oryx)
• Niveau 40, lumière moyenne : 298

• Mercredi 23 septembre : 10 heures de jeux

• Assaut : 1
• Patrouille : 3
• PvP : 0
• Raid : 1 (tentative sur Oryx pendant 6 heures d’affilée)
• Niveau 40, lumière moyenne : 298

• Jeudi 24 septembre : 13 heures de jeu

• Assaut : 5
• Patrouille : 7
• PvP : 1
• Raid : 2 (Oryx abattu deux fois)
• Niveau 40, lumière moyenne : 302

• Vendredi 25 septembre : 10 heures de jeu

• Assaut : 3
• Patrouille : 3
• PvP : 1
• Raid : 3 (arrêt à Oryx pour le finir dimanche soir)
• Niveau 40, lumière moyenne : 302

• Joueurs ayant participé : V4n0uX, pLm234, nounours0784
• Invité durant le Raid : corsica002b, Prophecy-Popo, Towermaxx_

Une semaine de jeu est finalement passée, et ce que nous pouvons d’ores et déjà dire, c’est que nous ne l'avons pas vu passer. Nous en étions restés à la troisième phase avec le Prêtre de Guerre comme boss de la troisième phase de ce Raid de La Chute du Roi.

Après être allé faire un peu d’assaut afin de looter de meilleures armes pour pouvoir le frapper plus fort, nous voilà repartis pour essayer de tuer ce boss, ce que nous avons réussi à faire après quelques heures d’entraînement pour maîtriser la technique ainsi que la communication nécessaires. En effet, pour taper le boss, il faut gérer une Aura tout en tuant des petits monstres, et cela dans un temps limité. Nous réussissons enfin à le tuer et plusieurs d’entre nous ont obtenu des équipements du Raid (fusils à pompe, snipers, lance-roquettes).

Nous arrivons ensuite dans un labyrinthe par le biais d’un téléporteur, dans le noir bien entendu. Il est difficile d'y trouver son chemin. Nous sommes ensuite accueillis dans une cellule, celle du second boss, qui n’est autre qu’un énorme Ogre avec, comme spécificité, une boule blanche protégée par des sortes de pattes d’araignée sur le dos. C’est d’ailleurs cette boule qu’il faut viser pour espérer le tuer avec un système de bulle à détruire, que nous n'expliquerons par plus en détail afin de garder la surprise ; il faut bien que vous fassiez comme nous et découvriez seuls comment abattre les monstres, non ? Ce boss n’était pas trop dur à tuer et c’est, encore une fois, la communication et l’organisation du rôle de chacun qui ont fait la différence et nous ont permis de réussir.

La phase suivante est, dans un sens, une phase en l’honneur de Mario, tant nous avons eu l'impression d'être dans un jeu de plateformes pur et dur avec des vols de personnages dans tous les sens (vous comprendrez quand vous y serez). Une très grande salle s'est présentée à nous avec deux prêtresses qui ne sont autres que celles croisées dans le mode histoire du Roi des Corrompus, et il faut ici les tuer. Pour cela, un système de plaques est présent, qu'il faut monter dans un certain sens afin d’aller chercher une relique, cette dernière permettant de retirer le bouclier d’une prêtresse à la fois. Un seul personnage peut monter sur ces plateformes et seulement après avoir trouvé le sens dans lequel il est possible de grimper dessus. Les prêtresses demandent énormément de doigté et, nous nous répétons, de la communication avec les équipiers. En même temps que les prêtresses, nous avons eu à gérer également des snipers qui apparaissaient dans l’espace derrière chaque personne présente sur une plaque, sachant que chacune d'entre elles nécessite quelqu'un dessus et qu'il y en a quatre. Il faut alors gérer également les ennemis qui apparaissent de partout ainsi qu’un timer d'une minute avant que l'un de ces vilains ne nous tue en un seul coup si nous n’avons pas eu le temps d’aller lui voler son bouclier. Au final, tout cela se gère assez facilement, mais seulement après de nombreux essais faisant office d'entraînement.

Nous arrivons au plus intéressant, Oryx. Après une longue et difficile progression, nous voilà enfin devant le Père de Cropta. Premières impressions, il est grand, très grand même et c’est ce que nous pourrions appeler un vrai boss de Raid, car comme vous allez le lire, il n'est pas vraiment possible de le battre entre deux missions à la va-vite. Il nous en a fait baver et il en sera sans doute de même pour vous.

Tout d’abord, il y a le même système de plaques à gérer que pour la phase des prêtresses et des ogres. Lorsque nous montons dessus, elles apparaissent aux quatre coins de la salle et font tomber une boule noire dont nous avons besoin pour taper sur Oryx et les monstres. Dans un deuxième temps, un porteur de relique part pour aller en chercher une, comme avec la mission des deux sœurs. Un vaisseau de la ruche dépose alors un chevalier avec un bouclier, dont il faut s'emparer avec la relique prise depuis les plateformes formées avec les plaques. Il faut ensuite tuer le chevalier, tous se mettre dans la bulle pour tirer dans le ventre d'Oryx, qui s’ouvre après quelques secondes. À noter que tout cela doit être millimétré pour que tous les membres de l'équipe soient aux bons endroits et prêts à le frapper avec les snipers, car si Oryx a le temps de taper dans ses mains, tout le monde meurt. Et ce n'est pas encore fini.

Une fois Oryx déstabilisé, il a fallu aller chercher les boules noires précédemment laissées par les ogres, rester quatre longues secondes à l’intérieur pour les faire exploser, revenir dans la bulle de protection et tirer dans le ventre du boss afin de lui faire un maximum de dégâts. Dans le meilleur des cas, avec les quatre boules à chaque passage, cela fait 25 % de vie en moins à Oryx. Après l’avoir tapé une première fois, il a déclenché une « tempête » et il a fallu tous se mettre à courir afin de ne pas être pris dans un cercle qui tue en un seul coup. Après notre deuxième attaque - il en est donc à la moitié de sa vie -, il nous a téléportés dans une petite boule où un écho de lui-même est présent. Il faut, bien entendu, l’abattre le plus vite possible - temps limité oblige -, car sinon c’est la mort pour tout le monde. Pour notre troisième assaut, nous avons dû refaire tout le cycle ogres, plateformes, chevalier, bouclier, tirs dans le ventre et autres pour, finalement, qu'il nous téléporte de nouveau afin de se battre avec un écho de lui-même. 
Enfin, nous avons fait - une quatrième fois - le passage bien connu maintenant, et là il est retourné au milieu de la pièce (où il est arrivé au début de l’assaut) et il nous avons dû lui envoyer dessus tout ce qu’il nous restait comme Super, balles, tabourets et tout ce que nous avions sous la main, afin de l’envoyer dans l’espace faire un long sommeil et retrouver son fils. Nous voilà donc arrivés au bout du raid de La Chute du Roi.

Plus sérieusement, ce Raid est vraiment le plus dur que Bungie nous ait offert jusqu’à présent. Rien que sur Oryx, nous avons passé plus de six heures d’affilée pour trouver la bonne stratégie, la communication et les habitudes nécessaires pour espérer le tuer ne serait-ce qu’une fois.

Le mardi qui a suivi, avec la remise à zéro, nous avons été obligés de tout refaire depuis le début. Les premières phases, une fois faites trois ou quatre fois, se passent assez vite, mais pour Oryx, nous n’avons réussi à le tuer une nouvelle fois que le jeudi soir. Et dire qu’il va y avoir un mode Difficile et Extrême. Une chose est sûre, nous n’avons pas fini de souffrir à cause de lui. Sur ce, nous y retournons, et nous vous disons à bientôt, peut-être dans le jeu et surtout dans une rubrique à venir sur GamerGen.Com,  "Quoi de neuf dans Destiny".