Test PS3
The Witch and the Hundred Knight vignette 30032014

TEST - The Witch and the Hundred Knight : jouer les méchants, c'est plaisant

par

The Witch and the Hundred Knight : Metallia, n'oubliez pas ce nom !

En plongeant dans le cœur de The Witch and the Hundred Knight, il est facile de se rendre compte que le titre regorge de bonnes idées - pas toujours bien exploitées -, mais assez intéressantes. Le fait de pouvoir jouer du côté des méchants s'avère assez jouissif, tout comme la possibilité de piller les nombreuses bâtisses présentes dans les villages afin d'en prendre possession.

The Witch and the Hundred Knight possède des bases solides dans son système, mais qui malheureusement auraient nécessité d'être un peu plus travaillées.

The-Witch-and-the-Hundred-Knights_02-05-2013_screenshot-25Si le studio était habitué à pondre des Tactical RPG aux batailles peu dynamiques, c'est plein d'espoir que nous nous sommes jeté dans les combats de The Witch and the Hundred Knight, qui n'est autre qu'un action/RPG. Seulement, bien que le système de combat soit plutôt bien pensé - avec la possibilité d'équiper un certain nombre d'armes différentes (marteau, épée, lance...) en même temps pour enchainer des combos dévastateurs -, les joutes manquent malgré tout de dynamisme.

Du côté des bonnes idées pas forcément bien exploitées, nous retrouvons un concept un peu étrange : les Gigacals - qui s'apparentent à un petit compteur en haut à gauche de l'écran - où le temps défile jusqu'à tomber à zéro et attaquer votre barre d'énergie. Comme vous l'aurez compris, il convient de se presser lors de vos premiers passages sur les maps (vous pourrez tout de même y revenir par la suite quand bon vous semblera afin de les compléter à 100 %). Le point de sauvegarde se trouvant à côté de la maison de Metallia, il faut activer des piliers , des sortes de téléporteurs permettant de quitter la zone et étant le seul moyen de sauvegarder votre progression. Mais attention, ne pensez pas à aller et venir à loisir ! Les piliers servent également à distribuer les points de grade dans diverses catégories (point de vie, attaque...). Toutefois, en quittant une zone, tout lesdits points retombent à zéro. Un choix assez cruel en somme.

L'avantage de dépenser ses points de grade, c'est que cela permet au Gigacals de remonter un peu, ce qui n'est pas négligeable vu la vitesse à laquelle le compteur défile. Il est également possible de faire remonter ses Gigacals en tuant et dévorant des ennemis qui se stockent dans votre estomac (une fois plein, vous ne pourrez plus rien avaler). Un autre point intéressant, qui permet de rendre le jeu un peu plus immersif et les dialogues un peu moins soporifiques, concerne les "Self Assertion". Grâce à ce système, vous pouvez intervertir dans les dialogues en choisissant entre quelques options, ce qui provoque différentes réactions selon le personnage qui se trouve face à vous.

Au final, The Witch and the Hundred Knight possède des bases solides dans son système, mais qui malheureusement auraient nécessité d'être un peu plus travaillées. Heureusement que l'originalité du titre lui permet de se démarquer des action/RPG classiques.

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Commenter 3 commentaires

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Haine
Pour le point Négatif trop de parlote, ben faut aimer la lecture quand on joue à un jeu Nippon Ichi Software x). (Et je ne mettrais pas ça dans les point négatifs).
Mais sinon, très bon test.
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Christelle13
Haine Wrote:Pour le point Négatif trop de parlote, ben faut aimer la lecture quand on joue à un jeu Nippon Ichi Software x). (Et je ne mettrais pas ça dans les point négatifs).
Mais sinon, très bon test.


Merci pour ton retour, la parlotte en elle-même n'est pas réellement un défaut mais lorsque les textes ne sont pas traduis en français il faut avouer que pour certains ça peut être assez frustrant voire redondant.
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