WRC 6 : La licence WRC revient cette année avec de belles promesses, mais l'enrobage praliné laisse place à un arrière-goût d'amertume.
WRC 6 sent le réchauffé, c'est malheureux, mais c'est une réalité. Des améliorations promises, et des promesses certes tenues par endroits, mais de réels défauts persistants face à une concurrence qui, sans en être exempts, va de plus en plus marquer la différence. Oui, il y a du plaisir dans la conduite, oui, c'est « quand même » plus beau, mais nous étions en droit de nous attendre à bien mieux.
Les plateformes d'ancienne génération ne sont désormais plus un frein (la PSVita non plus apparemment...) pour le studio, si tant est que cela ait pu être une excuse pour des déceptions passées, et à l'heure où la VR prend son envol, les 60 fps deviennent une cible minimale nécessaire et attendue, et le sens du détail un atout pour se démarquer, WRC 6 stagne et se contente du minimum syndical. KT Racing n'en est désormais plus à son coup d'essai, et le studio français se devra de déployer une montagne d'efforts pour revenir dans la course, en espérant qu'il ne soit pas déjà trop tard.
- Une conduite simu-arcade appréciable et peaufinée
- Des tracés plus longs et moins larges
- Des graphismes améliorés, certes...
- ... mais totalement dépassés !
- Les tracés non officiels pour un jeu officiel
- Débit de parole et indications du copilote très perfectibles
- La VR, c'est pour quand ?
- « Z'avez pas vu la version PSVita ? Oh la la la la la ! »
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