Wolfenstein: The Old Blood : B.J. Blazkowicz de nouveau sur le front pour lutter contre une menace pire que le IIIe Reich.
Le début de l'aventure de Wolfenstein: The Old Blood suit donc B.J. tentant de s'infiltrer dans le château Wolfenstein, afin de récupérer les plans de la forteresse de Deathshead, ces derniers étant détenus par une certaine Helga.
Techniquement, ce standalone est un peu plus réussi que son grand frère.
Ceux ayant fait le précédent opus ne sont donc pas dépaysés, le scénario fait en effet directement écho au début de Wolfenstein: The New Order. Cependant, les clins d'œil s'arrêtent ici, la suite de l'histoire étant totalement nouvelle, avec un retournement de situation assez inattendu et très bien amené, mettant en scène des ennemis alors nouveaux dans la série, mais bien connus des amateurs de jeux de tir pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le scénario du jeu n'est pas réellement surprenant pour quelqu'un ayant joué au volet précédent, les mêmes codes étant repris, à savoir des protagonistes stéréotypant le méchant nazi, des morts émouvantes et des séquences particulièrement poignantes. De même pour les décors, la première partie du jeu se passant dans le château, lieu constitué en fait de plusieurs idées de level design piquées à Wolfenstein: The New Order. Heureusement, quelques moments originaux viennent casser cette sensation de déjà-vu, pour le plus grand bonheur du joueur.
Techniquement, ce standalone est un peu plus réussi que son grand frère, car développé uniquement pour les nouvelles consoles. Sans pour autant non plus exploser la rétine, les textures sont propres, les effets de lumière sont très agréables (mais rares), et la richesse des décors fait plaisir à voir. Idem pour la partie sonore, avec des thèmes dynamiques, mais clairement en retrait, faisant la part belle aux bruitages d'explosions, de tirs, de coups et de crânes détruits.
Commenter 3 commentaires