Un jeu avec des carrés, mais pas que.
La force de Nidhogg repose sur ses différents modes de jeux. En plus d'un court didacticiel pour vous apprendre les touches, il est possible de parcourir les niveaux en solo avec une difficulté croissante, mais aussi d'affronter un ami en ligne ou sur le même écran, et même d'organiser des tournois allant jusqu'à huit joueurs avec de nombreux paramètres modifiables.
Que vous jouiez sur le même écran ou en ligne, les coups fuseront autant que les insultes envers vos camarades.
Si le solo ne vous occupera pas longtemps - compter une trentaine de minutes pour en venir à bout -, c'est assurément dans le mode multijoueur que vous passerez le plus clair du temps. Car si au bout de quelques minutes vous aurez compris le fonctionnement de l'IA et pourrez ainsi sortir des coups impressionnants, il n'en sera rien contre vos amis ! Que vous jouiez sur le même écran ou en ligne, les coups fuseront autant que les insultes envers vos camarades, et atteindre le bout du niveau demandera de la patience et surtout beaucoup de maîtrise. Après plusieurs parties, aucune lassitude ne se fait sentir, et l'envie d'en découdre avec ce tas de pixels qui vous servait auparavant d'ami n'en sera que plus grande.
Le mode Tournament rallonge cette durée de vie avec la possibilité d'organiser des combats par round en modifiant certaines options, comme le fait d'enlever les épées et donc obliger le combat au corps-à-corps, particulièrement exigeant. Un petit plus non négligeable !
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