Un jeu avec des carrés, mais pas que.
S'il y a un mot pour décrire le gameplay de Nidhogg, c'est bien simplicité. Les commandes se résument aux touches directionnelles, à un bouton pour sauter et un autre pour frapper. Mais simplicité ne veut pas dire facilité, loin de là !
Il faudra être très précis pour pourfendre les opposants sans pour autant finir empalé sur leurs lames.
En effet, le jeu se veut particulièrement exigeant, pour diverses raisons. Avec autant de pixels, il faudra être très précis pour pourfendre les opposants sans pour autant finir empalé sur leurs lames, et donc rester vigilant à chacun de leurs mouvements, chose particulièrement difficile selon les niveaux, notamment avec des hautes herbes. En plus de cela, les adversaires se montreront de plus en plus coriaces, et il conviendra de faire preuve de sang-froid pour espérer les vaincre.
Pour ce faire, il faudra jouer avec la position de votre sabre : en haut, en bas, et au milieu. Si votre ennemi positionne sa lame dans la même position, il sera impossible de le toucher, les deux épées entrant en collision, provoquant même parfois le désarmement d'un ou des personnages. Heureusement, il est possible de récupérer un sabre au sol, et même de frapper votre adversaire au corps-à-corps, cette dernière technique demandant beaucoup de réactivité.
Une fois l'ennemi terrassé, il suffit d'avancer vers la droite de l'écran pour passer et affronter encore et encore des opposants, avant de conclure le niveau en arrivant dans une arène. Pas de panique, le personnage se fait dévorer par un ver géant, en référence au serpent de la mythologie nordique Nídhögg, qui dévorait les cadavres des êtres mauvais. Attention cependant, si vous êtes vaincu par les ennemis de base, ceux-ci se dirigeront vers la gauche de l'écran, vous obligeant à recommencer une partie du niveau.
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