Need for Speed : Couses underground, moteurs qui grondent, crissements de pneus, (re)bienvenue dans le monde magique de Need for Speed.
Need for Speed... Electronic Arts reprend sa recette d'antan et essaye de la moderniser pour apporter de nouvelles saveurs. La prise en main de ce nouvel épisode est plus que réussie puisqu'elle évolue tout au long du jeu. Pour ne pas changer, il est possible de drifter ou encore d'utiliser de la Nitro pour booster notre voiture durant une course effrénée.
La prise en main de ce nouvel épisode est plus que réussie.
Ainsi, le gameplay change au fur et à mesure de cette aventure. Au départ, le joueur prend le contrôle d'un véhicule lourd, pesant, manquant d’énergie. Des pièces peuvent être gagnées en achevant des challenges et ensuite montées pour gagner en puissance. Le coin customisation de ce Need for Speed est tout bonnement impressionnant. Les parties, comme le capot, les ailes, les rétroviseurs, les jupes latérales, et bien plus encore, peuvent être modifiées, mais pas que. L'aspect global de la voiture (couleur, vinyle, etc.) peut être personnalisé. Il manque juste une chose : des néons. Et la puissance dans tout cela ? Filtre à air, Nitro, suspensions, différentiel, échappement, culasse, calculateur, allumage, pneus, et autres pièces peuvent être améliorés pour concevoir un monstre à quatre roues. Pas satisfaits du résultat ? Pas de problème, il est possible de régler le comportement des pneus, l'inertie ou encore le rayon de braquage pour affûter sa prise en main selon ses désirs. En deux mots : au poil !
Pendant une course, plusieurs vues sont à disposition, à savoir à l’extérieur et en intérieur. Pour commencer, la vue rapprochée est un calvaire. La raison ? Lors d'un drift, la caméra se rapproche de l’arrière-train ; mauvais point, surtout pendant un virage, puisque le joueur a tendance à regarder au loin pour anticiper le parcours, chose qu'il ne peut faire ici. La vue éloignée est donc plus agréable pour arpenter les ruelles de Ventura Bay. Et en intérieur, cela donne quoi ? Seul petit souci, et pas des moindres, il manque un rétroviseur pour voir ce qui se passe à l’arrière, ni plus, ni moins.
Commenter 14 commentaires
Mieux que MW2012 et Rivals de justesse. Plus au niveau de la série depuis Carbon.
Ouai bon, c'est la Next-Gen...
Dommage..
La carte pas terrible, très peu de personnalisation sur les voitures, une fois fini il n'y a plus rien à faire.
Bon, bah je passe mon tour alors, je resterais sur Driveclub Bikes pendant quelques temps encore...
Toi avec tes commentaires Pro-M tout le temps, c'est fatigant
On a compris que tu penses que ton forza c'est le meilleur jeu du monde... Perso, j'ai pas aimé FH2, alors les goûts et les couleurs...
Tu n'a pas aimer mais Forza Horizon 2 reste le meilleur jeux de voiture en mode ouvert personne ne peut le nier (suffit de voir les notes donné a sa sorti)
Mais bon moi entre Forza Horizon 2 et Drive club bikes le choix est aussi vite fais je trouve pour moi
Peut-être mais ça n'a pas été mon cas... Une bagnole qui pivote sur un axe, je trouve ça chelou à conduire, on a l'impression de faire que glisser. Mais mon fils s'amuse beaucoup sur FH2...
C'est pas comparable du tout... Driveclub a eu aussi de belles notes par les testeurs qui n'ont pas rencontré de problème avec le jeu : comme Gamergen (18/20 contre 17/20 pour FH2). L'apport "moto" donne plus de fun au jeu dans la conduite et à la rigueur que tu dois mettre dans tes courbes. Je trouve ça beaucoup mieux qu'un forza où tu peux faire les vendanges à 200km/h dans une lambo sans casse... Après ça ne reste que mon opinion