Killing Floor 2 : Tripwire Interactive revient avec KF2, un FPS multijoueur aussi jouissif que violent.
En 2009, Tripwire Interactive avait su se faire un nom dans le milieu des jeux vidéo multijoueurs avec Killing Floor, un FPS coopératif gore et décomplexé où les joueurs devaient survive face aux Zeds, des mutants répugnants et virulents.
Perçu comme une alternative façon hardcore à Left 4 Dead, le titre a eu droit à une suite, disponible en Accès Anticipé depuis avril 2015 sur Steam, mais qui vient de sortir ce mois-ci en version finale sur PC, et également sur PlayStation 4. Au menu, des tripes, du sang, des armes à foison et beaucoup de Zeds. Killing Floor 2, toujours plus fort, toujours plus gore ?
Note : test réalisé sur une version PC (Windows 10, 64 bits).
L'invasion des Zeds a désormais atteint l'Europe entière, Killing Floor 2 propose ainsi d'explorer des cartes inédites prenant place dans de nouvelles régions, comme la France, la Suisse, les Pays-Bas et même la Russie. Au total, ce sont 12 cartes qui sont jouables et leur variété fait plaisir à avoir, les joueurs évoluant tantôt dans des ruelles, des laboratoires scientifiques enneigés ou dans des forêts, avec de multiples passages et recoins à découvrir pour se protéger des mutants. De par leur grande taille, il est notamment possible de condamner (temporairement) certaines portes pour empêcher l'assaut des Zeds. Le but est évidemment de survivre à des vagues d'ennemis en utilisant son armement, mais également l'aide de ses coéquipiers. Car oui, Killing Floor 2 est essentiellement un jeu multijoueur. Il est possible de jouer en solo, mais l'intérêt est très, très limité et le titre manque cruellement de saveur sans quelques amis virtuels pour dézinguer du Zed.
Killing Floor 2 a un côté survival-horror où la pression grimpe à chaque vague, rendant le jeu particulièrement stressant et d'autant plus nerveux.
Les parties en Survie se ressemblent, et le fonctionnement du jeu n'est pas bien compliqué à comprendre. Lorsque le joueur tue un ennemi, il gagne de l'argent, qu'il devra dépenser dans une boutique pour acheter de nouvelles armes, faire le plein de munitions (grenades comprises) et pourquoi pas obtenir un gilet de protection, bien utile contre les gros Zeds. Dès lors, il faut faire face à des ennemis plus nombreux et plus puissants, jusqu'à arriver contre la dernière vague et affronter un boss. Véritable sac à PV, battre cet ennemi spécial n'est jamais une mince affaire et la bataille peut rapidement tourner au désastre pour les survivants si le côté teamplay est mis de côté, d'autant plus qu'il est accompagné de Zeds classiques.
Petite déception, il n'existe pour l'instant que deux boss différents, ce qui enlève le charme de la surprise lors de la découverte de ce dernier. Heureusement, pour varier les plaisirs, Killing Floor 2 propose un arsenal plutôt varié. Si chaque classe dispose d'un équipement de base, il est possible d'en changer entre deux vagues et d'opter pour des fusils d'assaut, des fusils à pompe, des carabines, des doubles revolvers, des lance-flammes ou même des armes contondantes ou blanches pour le corps-à-corps. Attention cependant à ne pas être surchargé, sous peine de ne plus pouvoir courir. Globalement, les armes ont un très bon feeling, la sensation d'exploser des crânes de Zeds est jouissive et le côté gore en rajoute une couche. Le gameplay est agréable, simple d'accès, mais Killing Floor 2 a un petit côté survival-horror , avec une certaine rigidité volontaire (notamment dans l'impossibilité de sauter par-dessus certains obstacles) et où la pression grimpe à chaque lancement de vague, rendant le jeu particulièrement stressant et d'autant plus nerveux. Et c'est sans parler des quatre modes de difficulté, où le plus élevé demande autant de skill que de sang-froid.
Commenter 5 commentaires
J'y joue depuis le 1er Killing Floor, je déteste le PVP et j'aime les FPS donc se jeu dans le genre est imbattable. Votre comparaison devrais être par rapport a l’ancien et non avec se qui se fait actuellement.
Graphique 13 mais LOL (ouvrez les yeux) comparez se qui est comparable.
Comme tout jeu la comparaison doit se faire par rapport a l’ancien et non sur se qui se fait actuellement (à quoi bon prendre des moteurs graphique de OUF si c'est pour bloquer les personnes ayant des petites config?????)
comme CSGO
Pour
les graphismes : Stop Battlefield
la jouabilité : Stop Call Of Duty
Graphisme 13/20 -------------- 15/20 les effets, les texture + le FLEX (évolution monstrueuse)
Bande son 17/20 --------------- 17/20 le style ne change pas trop mais la BO et plus grosse et plus de musique
Jouabilité 15/20 --------------- 17/20 ajout de la course + soin facilité + soudure rapide ajouté et d'autre
Durée de vie 17/20 ------------ 17/20 plus de lvl + ajout de compétence + plusieurs perk ajouté
Verdict 15/20 ------------------- 16.5/20
Voici ma config :
I7 4790K
ASUS ROG Maximus 7 Ranger
16 GO DDR 3 1600mhz CAS 8
ASUS ROG STRIX GTX 1080 8GO GDDR5X
Win 7 Ultimate 64 bit sur SSD Samsung EVO 850 250GO + Westerne Digital Caviar Black 2TO pour instal jeu steam
Asus VG248QE 144hz 1ms
Pas d'accord du tout avec cà.
Oui il faut prendre en compte l'historique d'un jeu, les versions précédente etc, mais la note d'un jeu doit se faire avec ce qui est sur le marché actuellement.
J'imagine bien un remake d'un jeu nes qui aurait une maniabilité dégueulasse, mais parce que c'est moins pire qu'il y a 25 ans il faudrait lui mettre une bonne note ? pas d'accord.
Le jeux est peut être mieux que le précédent, mais si la concurrence fait mieux, c'est normal qu'il se fasse descendre
Alors compare doom 1 (super nes) avec battlefield 1 (celui qui vient de sortir).
En plus dans les jeux de se style, t en connait toi?