Dragon Ball Xenoverse 2 : Après plusieurs heures en compagnie de divers Saiyajin, nous vous livrons notre verdict de cette adaptation Switch.
Janvier 2017, Nintendo exhibe au grand public sa nouvelle machine connue sous le nom de Switch. Au Japon, la firme a organisé un énorme évènement permettant aux joueurs sur place de mettre la main sur diverses démonstrations, l'une d'entre elles était Dragon Ball Xenoverse 2. Nous avions pu tâter du titre durant cette petite convention, et nos premières impressions n’étaient clairement pas positives. Un jeu au rabais, plusieurs problèmes techniques, ce portage n'avait rien pour lui de prime abord... Ça y est, la version finale est enfin disponible, faut-il passer son chemin ?
Barres de rire en vue mon capitaine !
Tout d'abord, concernant les graphismes, ne tournons pas autour du pot, nous avons affaire à du 30 fps, la qualité de certaines textures ont été amoindries et de l'aliasing est présent par-ci, par-là, le titre n'est pas aussi fin que sur les autres plateformes. En mode Portable, lorsque nous nous promenons dans Conton City, nous avons remarqué des chutes assez violentes par moment. Selon la zone et le nombre d’éléments affichés à l'image, Dragon Ball Xenoverse 2 se met à ramer. Chose plutôt amusante, ce défaut visuel n'est pas visible en mode TV ; oui, sur un grand écran, le framerate tient bon la route. Et pendant les combats, de quoi s’inquiéter ? Non, les 30 images par seconde ne dérangent absolument pas, les affrontements sont propres, les batailles se succèdent sans problème, ouf, nous pouvons souffler.
La prise en main est top, il faut néanmoins passer par la case tutoriel pour comprendre toutes les facettes de cet épisode. Notre intérêt se porte alors sur une chose, les Joy-Con. L'un des arguments de Bandai Namco pour cette édition, c'est la possibilité d’exécuter des mouvements précis pour amorcer une offensive (comme un Kame Hame-Ha en bougeant ses mains d'arrière en avant). Soyons francs, ça marche plutôt bien. Ce genre d'option quelque peu décalée amuse un temps et fatigue rapidement le joueur. Néanmoins, il y a de quoi rigoler avec un ami en se lançant dans un face-à-face complètement grotesque ; barres de rire en vue mon capitaine !
Autre point, et pas des moindres, il est possible de décrocher les manettes de la machine pour jouer en local avec un camarade. Seulement voilà, la taille d'un Joy-Con n'est pas du tout adaptée pour ce type de jeu, les mains se tordent, les doigts glissent, les durites pètent, c'est catastrophique... Pour le coup, il faut ajouter un petit accessoire, un grip en plastique, pour jouir d'une prise en main comme il se doit.
Note : test réalisé à partir d'une version japonaise.
Commenter 5 commentaires
Après, ça reste un portage d'un jeu pas développé pour cette console. Les prochains seront encore mieux
C'est rassurant. J'ai pas accroché au 1 mais je pense craquer pour ce deuxième opus, rien que pour le fait de pouvoir y jouer partout
EDIT : est ce que les musiques BGM en DLC peuvent être jouées pendant les combats ou uniquement en tant que "extra" dans un menu quelconque ? Merci encore
Franchement je ne regrette pas mon achat, ce DBZ dans la poche magnifique. Pour les joy con, pour moi ca passe et les touches ont vraiment etudié pour bravo !
Par contre, j'ai joué hors connexion dans la ville, on sent bien une petite reticence lol mais pas de ralentissement de ma part en tout cas.
Merci a GamerGen pour les tutos et explications sur le compte Jap. Je ne donnerai pas non plus les sites pour les eschop cards ^^ mais foncez vraiment !
Et du coup je me suis pris One piece lol
Les autres seront pareil, la switch sera jamais la console lead, elle se tapera les portages plus ou moins reussi