TEST - Dragon Ball Xenoverse 2 : un jeu boosté à la testostérone de Saiyajin ?

Cette histoire débute par la création de son propre héros, le joueur doit alors faire un choix entre cinq races ayant des compétences uniques, puis sélectionner un sexe (sauf pour les Namek qui sont un peuple asexué). Taille, poids, allure, cheveux, visage, regard, carrure, tout y passe pour concevoir le protagoniste de ses rêves en deux temps, trois mouvements. Comme d'habitude, cette partie est distrayante, sans compter que le personnage peut changer de vêtements et évoluer tout au long de cette odyssée.

Le hub devient un énorme terrain de jeu.

Une fois son héros en poche, les portes de Conton City ouvrent. Le hub de Dragon Ball Xenoverse 2 est immense (7 fois plus grand que Toki Toki City) et permet de s'extasier comme il se doit avec des camarades ou des inconnus dans des endroits réputés et connus des aficionados. Une fois la compétence « voler » acquise pour se déplacer en toute liberté, ce lieu clé devient un énorme terrain de jeu. En plus de pouvoir réaliser différentes missions et quêtes secondaires, il est possible de partir dans des délires loufoques. Des « Gestes » sont proposés dans un menu adéquat pour prendre une pose délirante, un « Chat » peut-être utilisé afin de communiquer rapidement avec une personne, des boutiques sont présentes pour acheter des tenues, techniques, objets, offrir des cadeaux, et il est possible de se rendre dans des régions bien précises pour réaliser des défis. Vaisseau de Freezer, Maison de Buu, Maison du Doyen, Maison de M. Satan, Capsule Corporation, un tout nouveau mot entre dans le dictionnaire de la franchise Dragon Ball Xenoverse : voyage.

Point important, c'est à Conton City que notre personnage pourra prendre du muscle. Un menu centré sur notre guerrier est accessible et donne la faculté de le personnaliser. C'est ici que ses tenues pourront être modifiées, ainsi que ses offensives et ses objets. L’amélioration des attributs (santé, Ki, endurance, attaques de base, super frappe, super Kikohas) se fait aussi dans cette interface et par l’intermédiaire de points remportés durant un affrontement. Les manipulations se font avec aisance, c'est simple comme bonjour. Au cas où, et si le joueur ne sait plus où donner de la tête, des PNJ et autres assistants rodent dans les environs pour prêter main-forte afin de bien progresser ; au poil !

Mis à part tout cela, des maîtres/entraîneurs inculquent de nouveaux coups et livrent divers ustensiles pratiques (en passant par des « Quêtes d’école » à achever en un temps imparti), tandis que le Vieux Kaio Shin est là pour enseigner les rudiments de la prise en main. Bref, vous l'aurez compris, Conton City n'est pas qu'un hub traditionnel pour rejoindre une partie en ligne ou lancer une mission, c'est aussi un énorme espace aménagé pour bien s'amuser en dehors des combats.