Just Cause 4 : Le jeu nous a été présenté à nouveau, mais cette fois, nous avons pu tâter de son gameplay plusieurs heures durant, de quoi bien nous défouler.
Square Enix nous a récemment invités à Londres afin de poser nos mains sur Just Cause 4, la nouvelle création des développeurs d'Avalanche Studios que nous avions déjà pu approcher à l'E3 et à la gamescom sans pour autant y jouer. Durant quelques heures, nous avons ainsi pu prendre le contrôle de Rico Rodriguez et explorer quelque peu l'île de Solís, le nouveau terrain de jeu de cette aventure. À noter qu'il s'agissait d'une version PC jouable à la manette Xbox One, qui a malheureusement planté plusieurs fois vers la fin de notre session, cas visiblement isolé parmi la trentaine de postes présents sur les lieux.
Le grappin fait figure de pièce maîtresse du gameplay.
Rico, qui a quitté l'Agence dans le précédent épisode, est venu à Solís afin de découvrir la vérité concernant le décès de son père et va découvrir que des expériences sont menées par la Main Noire, provoquant de terribles phénomènes climatiques dont le peuple ignore la véritable origine. Dans un premier temps, nous avons ainsi découvert le gameplay et les prémices du scénario, introduisant d'emblée le personnage de Gabriela Morales, mais aussi la leader de la résistance locale, sa cousine Mira Morales (les repas de famille doivent valoir le détour...). Grosso modo, la chef de l'organisation militaire vient la capturer, mais les villageois ne se laissent pas faire et Rico finit même par intervenir alors qu'il devait se cacher, le temps est donc à la contre-attaque !
Première mission servant à nous familiariser avec les commandes, l'objectif était des plus simples, récupérer des armes dans un entrepôt. D'entrée, il nous a fallu utiliser la wingsuit pour planer en direction de ce lieu au départ peu gardé et, très vite, nos réflexes de destruction ont repris le dessus. Toutefois, c'est bien le grappin qui a fait figure de pièce maîtresse du gameplay dans ces premiers instants, nécessaire à l'ouverture de portes de hangar en connectant deux barils explosifs entre eux ou l'accès à des tableaux électriques à faire sauter. En plus de ça, il permet de se déplacer rapidement en nous accrochant un peu partout (tuer des ennemis la tête en bas en étant accroché au plafond, et pourquoi pas ?). La récompense pour nous être acquitté de notre tâche ne fut autre que l'amélioration Air Lifter pour notre précieux gadget, permettant de poser des ballons sur les objets afin de les faire s'envoler, de quoi se prendre pour Snake et son système Fulton.
L'une des mécaniques de progression du jeu nous a ensuite été expliquée, à savoir repousser la Ligne de Front en sécurisant des régions pour le compte de la rébellion. Pour ce faire, pas 36 solutions, il faut prendre part à des activités et remplir notre jauge de chaos pour agrandir les rangs de notre camp. En cinq mots : il faut tout faire sauter ! C'est l'essence même de la franchise, et ça reste assez jouissif pour le moment. Une deuxième mission a ensuite mis à profit la fonctionnalité nouvellement acquise de notre grappin au cours d'une escorte d'un camion jusqu'à un village, avec divers obstacles à déblayer sur la route. La partie la plus fun consistait tout de même à éliminer les membres de la Main Noire cherchant à nous arrêter, le gameplay avec les armes à feu restant globalement identique à ce que la série nous avait habitué, avec de bonnes sensations de TPS, bien qu'assez simpliste.
Nous avons ensuite eu le temps de rouler un peu en voiture et naviguer sur une petite embarcation, avec une prise en main des véhicules qui nous a semblé toujours aussi rigide que par le passé, avant de lancer une troisième mission nous demandant de rejoindre un personnage dans les mines, en liquidant au passage quelques ennemis. Et pour connaître la suite, nous devrons attendre la sortie, car c'est à ce moment qu'une deuxième présentation du jeu a été effectuée, nous révélant davantage sa richesse.
Commenter 0 commentaire
Soyez le premier à commenter ce contenu !