PREVIEW - Far Cry 5 : nous avons joué, en solo et en coop, dans la partie « champêtre » du jeu

Pour réaliser les objectifs, le joueur peut louer les services de mercenaires (Gun Fire) ayant chacun des spécifités propres, comme le sniping, par exemple. Il est possible de leur donner des ordres, mais ils jouissent d'une certaine liberté qui nous a semblé bien pensée lors de notre session. Être bien accompagné peut tout changer lors des différentes missions à accomplir. C'est d'ailleurs une autre nouveauté de Far Cry 5, le jeu est entièrement jouable en coopération avec un camarade et c'est vraiment très sympa. Lors de notre mission, nous devions exfiltrer un otage d'un camp de vilains, et le porter vers un bateau tout en résistant au différents assauts. Si vous pensez qu'à deux, la fête est plus folle, vous avez tout à fait raison. Cette possibilité nous a bien amusés et le titre gagne vraiment à être joué avec un, ou une, partenaire.

Enfin, nous avons apprécié la liberté d'action laissée par les développeurs quant à la façon de suivre l'histoire. En effet, toutes les actions réussies font augmenter notre jauge de résistance, et c'est elle qui déclenchera des évènements qui nous pemettront d'avancer dans cette histoire. Chacun peut ainsi vivre son aventure comme il le sent. Cela dit, il faudra vraiment attendre la version finale pour que nous puissions juger de l'efficacité de ce concept sur le long terme. Graphiquement, le jeu est réussi, sans toutefois pouvoir rivaliser avec les graphismes d'un Assassin's Creed Origins ; notez quand même que la version testée est encore en phase de développement et n'est pas encore optimisée.  

Deux heures de jeu, c'est peu, très peu pour tout découvrir, mais largement assez pour donner envie d'y revenir. Dans ce qui nous aura marqués, la mission « Testy Festy » restera celle qui nous aura le plus amusés. Avoir pour mission de liquider un taureau en train de copuler avant de collecter ses coucougnettes, il fallait oser. Ils l'ont fait ! Nous sommes bien dans un Far Cry et nous en voulons encore !