Fist of the North Star: Ken's Rage 2 : L’homme aux sept cicatrices décide d’exploser les coulisses de XboxGen. Sans plus attendre, voici notre test complet d’Hokuto Musô.
Cela faisait maintenant plusieurs années que nous n’avions pas vu un jeu d’action-aventure avec notre ami Kenshirô. Pour tout vous dire, cela date de l’époque de la PlayStation première génération avec Hokuto no Ken : Seiki Matsu Kyûseishu Densetsu qui, malheureusement, n’a jamais vu le jour dans nos contrées.
Cette fois-ci, c’est Koei-Tecmo qui se charge de reprendre la licence et d'adapter la bête selon leur vision. La firme a donc essayé de rester le plus fidèle possible au manga que nous connaissons. Résultat ? Globalement, c’est correct. Ken explose tout, Shin s’impose, Rei découpe ce qu’il peut, Yuria et Mamiya sont plus que ravissantes et Raoh est un démon à nous couper le souffle. Si vous êtes habitués à regarder l’animé, certes vous allez nous dire que les personnages ne ressemblent pas du tout à la série. Et pourtant, nous reconnaissons dès le premier coup d’œil chaque protagoniste. Adapter Hokuto No Ken sur une consoles HD, c’est reprendre un monde existant et l’agencer de manière à ce qu’il soit au top. C’est pourquoi les développeurs se sont amusés à recréer l’univers de la série tout en y restant fidèle.
En effet, notre héros porte une tenue de cuir plutôt classe. Chaque personnage se voit donc attribuer un nouvel accoutrement bien pensé. Bien évidemment, rien ne vaut nos bons vieux vêtements d’autrefois. C’est pourquoi, munis d’une carte bleue, nous nous sommes procurés les DLC disponibles sur le Xbox-live nippon. Et là, le charme opère. Nous sommes plongés littéralement dans ce monde désastreux avec la possibilité d’incarner notre héros d’enfance.
Malheureusement, la modélisation des personnages reste néanmoins très sommaire. Si nous reconnaissons le design de nos acolytes, il faut savoir qu’un petit défaut nous gêne. Quel est-il ? C’est un effet de plastique où nous avons plus l’impression de manipuler des poupées pour taper du GI Joe. De plus la version Xbox 360 a un léger défaut de luminosité que nous pourrions appeler le « Bayonetta’s Fog ». Ce qui rend nos acolytes beaucoup plus pale que sur PlayStation 3. C’est dommage car l’adaptation visuelle de Kenshirô sur console haute définition est dans son ensemble convenable.
Commenter 2 commentaires