TEST - Dokuro : un mal de crâne façon Game Arts et GungHo ?

Un scénario très bateau ? Une jeune demoiselle vient de se faire capturer par un vilain monstre. La raison de ce kidnapping ? Monsieur veut tout simplement une reine pour gérer son royaume des ténèbres. Et là, dans les cachots, un servant, sous la forme d’un squelette, craque pour la belle princesse. Pris de charme, notre ami décide alors de délivrer la petite et de l’aider à s’échapper de ces lieux lugubres. Ceci est donc un court résumé de ce qui vous attend ! Cela peut paraître lambin au premier abord, et pourtant…

Les niveaux s’enchainent, ne se ressemblent pas, et nous plongent entièrement dans cet univers signé Game Arts et GungHo. Les divers chamboulements et bouleversements vous feront dire quelques insultes de vive voix, console en main. Nous nous sommes pris au jeu et nous l’avons achevé d’un seul trait. Il est tellement prenant que nous avons eu l’impression de terminer le tout en une toute petite poignée de minutes. Nous ne vous dévoilerons pas le nombre de chapitres pour ne pas gâcher la surprise finale mais sachez qu'il faudra entre huit à dix heures de jeu pour admirer le générique de fin.

Quant aux mélopées, elles sont à croquer. Seuls quelques problèmes sonores apparaissent par moment (bruit de flammes sans feu à l’écran, bruitage d’une traînée de caisse sans la pousser, etc.). Pour ce qui est de la difficulté, elle est bien proportionnée. Il y en a pour tout le monde : des énigmes faciles comme des charades à vous tirer les cheveux !