Batman: Arkham VR : Vous avez toujours rêvé d'incarner Batman ? Eh bien, c'est ce que nous propose justement Rocksteady.
Tous les petits garçons en ont rêvé au moins une fois après avoir passé leur dimanche matin à regarder Batman: The Animated Series - plutôt que d'aller à la messe. De quoi parlons-nous ? Du fantasme universel d'endosser le costume du célèbre super-héros de l'écurie DC Comics. Et figurez-vous que ce songe, matérialisé au gré de soirées festives pour ceux qui aiment ça, prend forme de la manière la plus concrète possible dans Batman: Arkham VR.
Ce titre vient ponctuer la trilogie Arkham développée par le talentueux studio Rocksteady. Après trois jeux d'action-aventure flamboyants, il a décidé de surfer sur la vague de la réalité virtuelle pour proposer autre chose aux fans, grâce à la magie du PlayStation VR. Vous l'aurez compris, cette production offre l'opportunité de porter le masque de Batman, d'être lui le temps de quelques précieuses minutes. Il aura fallu attendre 2016 pour que le rêve de gosse se concrétise...
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Alfred a un message urgent à faire passer à Batman : Robin, parti en mission, ne répond plus, tout comme Nightwing. Le traceur de ce dernier étant toujours actif, le justicier doit aller voir de quoi il en retourne. S'ensuit une enquête qui le fera remonter différentes pistes. Jusqu'où le détective devra-t-il aller ? C'est la grande question...
La sensation d'être lui est plus que palpable, elle devient réalité.
Rocksteady n'avait rien caché, Batman: Arkham VR se termine en moins d'une heure. Ça, c'est dit. Mais c'est une heure pleine de références, de fantasmes, d'échos du passé (les précédents Batman: Arkham), de surprises, de mystères... L'intro nous plonge carrément dans la peau d'un Bruce Wayne jeune, assistant impuissant au meurtre de ses parents. Ce n'est qu'un exemple, parmi d'autres, de ce que rassemble cette aventure en réalité virtuelle : une somme de séquences faisant rêver les enfants et les amoureux de Batou. La sensation d'être lui est plus que palpable, elle devient réalité (regardez dans la glace).
Graphiquement, Batman: Arkham VR souffle le chaud et le froid. Rocksteady a opté pour la même patte graphique que ses précédents jeux, soit un rendu réaliste, à quoi la résolution moindre ne fait pas vraiment honneur. En fait, les premiers plans sont soignés, à l'instar des personnages très bien modélisés, tandis que les backgrounds sont déjà plus grossiers. Qu'à cela ne tienne, l'illusion fonctionne quand même et l'immersion n'en souffre pas trop, déjà parce qu'il n'y aucune concession sur les détails, ensuite parce que le 360 degrés bluffe.
La bande-son est également de bonne tenue, même s'il faut regretter l'absence de voix françaises, résultant de sous-titres dynamiques qui deviennent parfois illisibles selon les endroits où ils tentent de se fondre. Le titre étant très bavard, cela pourra poser quelques soucis de compréhension.
Commenter 20 commentaires
Ok faut pas toujours ramener l'heure de jeu au prix, mais là on parle quand même d'une démo technique de 1h30 plus que d'un vrai jeu. Et batman sans bras, pour l'immersion c'est pas un jeu nase?
Corrigé, merci.
Oui, sans nul doute.
doux rêve d'être Batman... à quand GTA!?
pas probleme a ton service.
drôle de raisonnement...
Elles pullulent sur Youtube, c'est dommage de ne pas en avoir fait une, surtout que c'est plus parlant que du texte
Oui et c'est même un des points mis en avant par Sony.