Test – BackBreaker : le football américain explose notre console

Des graphismes simples, mais un aspect général convaincant ? Dur de se prononcer en voyant le petit de NaturalMotion tourner.

Visuellement, BackBreaker ne casse pas des briques. Ce n'est pas que le jeu en lui-même soit laid, mais les textures utilisées et d'autres éléments du décor sont basiques et sans grand intérêt. En effet, nos joueurs ont plus l’impression d’être des poupées plastiques que de véritables mâles.  Mis à part ce défaut, les terrains sont plutôt bien matérialisés, le public se déchaine, mais a une apparence quasi-uniforme et les effets de vitesse sont magistraux. Sachez qu’il vous est également possible de tâter du ballon sous la pluie, en pleine nuit mais aussi sous le soleil pour faire bronzette. Au niveau des mouvements, les Dieux du stade bougent comme dans la réalité. Pas trop rigides, les plaquages sont variés et ne se ressemblent pas. On s’y croirait.

Lors du Kick-off, nous avons la possibilité de tourner la caméra sous deux angles différents de façon à nous plonger littéralement en plein milieu du terrain et les mises en jeu sont bien représentées.

Des couleurs variées et des effets sympathiques, BackBreaker joue sur son côté simulation et barbare pour nous charmer visuellement. Même si nos personnages ont un côté lisse, l’écran qui bouge dans tous les sens nous fait oublier les petits défauts esthétiques du titre.