TEST - Assassin's Creed: Brotherhood

• Gameplay

Le mécanisme principal du jeu n’a pas changé, les actions restent les mêmes, l’assignation des armes se fait toujours en faisant défiler la roue avec R2 et nous pouvons toujours utiliser des raccourcis sur la croix directionnelle.

Dans le précédent, nous évoluions dans les plus grandes villes d’Italie mais cette fois-ci, l’histoire est centralisée sur la capitale, Rome. Mais ne pensez pas que nous perdons en territoire à parcourir. La carte est toujours aussi immense et avant de pouvoir tout visiter, il faudra marcher, courir, grimper, sauter et chevaucher pendant des kilomètres. Et pour la première fois, nos montures ne restent pas à l’écurie puisque nous pouvons enfin arpenter les rues à dos de cheval. De plus, pour aller plus vite, il est possible d’utiliser des tunnels communicants à débloquer dans les zones principales.

Ce ne sont pas les seuls éléments à débloquer puisque nous ne gérons plus une simple villa mais Rome tout entier. Il va falloir acheter et rénover les échoppes, les écuries, mais aussi les aqueducs et les plus grands bâtiments de la ville afin d’obtenir encore plus de florins et ainsi, continuer les rénovations en cascade. Mais pour ce faire, il est indispensable d’éradiquer la propagande du gouvernement en place. Nous devons assassiner les capitaines de milices et brûler les tours afin d’asseoir nos idéaux et rallier la population à notre cause. Nous pouvons également ouvrir des repères de voleurs, de mercenaires et de courtisanes dans le but de recruter temporairement leurs occupants pour approcher plus discrètement nos cibles ou pour déclencher une bataille de front

Cette population a une plus grande importance dans cet épisode. Au fur et à mesure que nous mettons nos couleurs dans les zones de Rome, nous pouvons recruter des assassins et former notre propre guilde. Ils s’avèrent très utiles pour rester dans l’anonymat et exécuter des cibles à distance, mais il faut bien les entraîner. Pour cela, il faut trouver des pigeonniers et envoyer nos recrues en missions à travers toute l’Europe et au-delà. Les différentes missions sont séparées par lieux et niveaux de difficulté. Il est possible d’en envoyer plusieurs pour une seule mission afin de la mener à bien et de se partager l’expérience. Nous récupérons par la même occasion de l’argent et divers objets précieux. Objets que nous trouvons également dans les coffres parsemés dans la ville et qui nous permettent de débloquer équipement et armes chez les marchands.

• Mode en ligne

Le principal attrait innovant de Brotherhood est le mode en ligne. Nous sommes dans l’Abstergo et nous sélectionnons un personnage parmi différentes classes disponibles :

• Le médecin.
• La courtisane.
• Le barbier.
• Le rôdeur.
• Le prêtre.
• Le noble.
• Le bourreau.
• L’ingénieur.
• Le capitaine.
• La contrebandière.

Et encore bien d’autres que nous débloquons au fil des niveaux gagnés car après chaque partie, nous gagnons des points d’expérience suivant certains critères comme la discrétion. Ces points nous font monter en grade et nous offrent de nouveaux personnages, armes, capacités, etc.

Plusieurs affrontements sont proposés, nous commençons par un entraînement qui nous présente comment cela fonctionne. Nous avons une cible à assassiner mais nous sommes en même temps, la cible de quelqu’un d’autre. Un radar en bas à droit de l’écran nous indique si nous nous rapprochons de notre but et la musique si nous nous faisons repérer par notre traqueur. Une fois ce didacticiel terminé, nous avons le choix entre plus cartes, puis de quatre modes :

• Traque (chacun pour sa peau).
• Alliance (travail en équipe).
• Traque avancé (où il faudra se montrer le plus discret possible).
• Chasse à l’homme (une partie où nous sommes les chasseurs et l’autre les chassés).

Le titre d’Ubisoft est donc très vaste et pas seulement en terme de distance à parcourir mais aussi de son contenu.