L'exclu Xbox One se dévoile.
Fraîchement annoncé lors de la conférence pré-E3 2013 de Microsoft, Dead Rising 3 sera donc une exclusivité Xbox One, tout comme Dead Rising premier du nom le fut pour la Xbox en son temps. Un juste retour des choses en somme. Du reste, même si nous en sommes – déjà – au troisième épisode, la curiosité pour la Next-Gen a de quoi nourrir de gros espoirs quant à cette série foutraque et estampillée Capcom. La présentation à laquelle nous avons assistée a duré 30 minutes et les ambitions sont claires, en l’occurrence celles de faire de ce Dead Rising 3 l’un des jeux de la firme nippone parmi les plus… ambitieux. À la bonne heure.
Si vous vouliez en savoir plus sur l’histoire et le background, il va falloir repasser. Ainsi, tout juste savons-nous que le héros répond au doux nom de Nick Ramos, un jeune mécanicien plutôt doué et débrouillard. D’ailleurs, ses aptitudes devraient lui servir à plein régime puisque la ville dans laquelle il vit a eu la bonne idée d’accueillir une épidémie transformant la population en zombies. Et des zombies, il y en a une tonne à l’écran dans Dead Rising 3. C’est sans doute pour cela que l’aspect technique affiche parfois quelques limites (aliasing, bugs d’affichage, framerate un peu bancal), en sachant que nous ne sommes plus dans un centre commercial et qu’il n’y aura aucun temps de chargement entre chaque zone de la carte. La superficie, ça compte.
À l’instar des autres opus, cette troisième itération part du principe que tout – ou presque – est une arme (424 en tout). Cela permet de ramasser une tonne d’objets – à vocation meurtrière ou non -, afin d’occire les hordes de goules ne demandant que notre chair à manger. En outre, le métier du personnage principal lui permet d’associer les éléments selon des plans définis (appelés blueprints), donnant naissance à un arsenal exotique (une épée enflammée) ou des améliorations bienvenues (une lampe torche + un pistolet = un tactical gun). Forcément, le but est d’obtenir du plaisir au travers d’une expérience jouissive et d’un défouloir, sans prise de tête (quitter son véhicule avant de freiner pour le voir s'exploser contre une station essence, ça le fait grave).
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