Famitsu nous en dévoile un peu plus sur certains aspects du jeu.
Le magazine japonais Famitsu nous en dit un peu plus sur le système d'intelligence artificielle de Soul Sacrifice.
La dernière création de Keiji Inafune est une aventure qui peut se jouer à plusieurs en coopération, mais aussi en solo. Dans ce cas-là, serons-nous complètement seuls durant l'aventure ou aurons-nous des coéquipiers virtuels ? Eh bien, c'est le deuxième cas de figure qui s'offre à nous. Deux autres personnages seront contrôlés par l'A.I. (Artificial Inteligen), s'ils seront libres de leurs mouvements et de pouvoir nous aider, notre façon de jouer aura tout de même une influence sur leur comportement. La charmante Nimue sera l'une d'entre eux et sera même un des protagonistes principaux du jeu.
Comme nous avions pu le découvrir durant la présentation du titre, un livre très spécial aura également une grande importance dans cette aventure, il a même un nom, Rebrom, et nous le rencontrerons en prison, il nous permettra de choisir nos quêtes. Il nous sera offert par un voisin de cellule et devrait nous aider à connaître la vérité sur le monde qui nous entoure ainsi que nous aider à nous échapper de notre destiné de sacrifices.
L'hebdomadaire détaille également quelques sorts magiques comme celui des rochers qui nous permettra de nous créer un bouclier afin de nous défendre des attaques ennemies, ou encore une magie d'attaque rapprochée qui utilisera des os géants. Un nouvel endroit est également présenté, celui d'Andromeda Lake Side qui, comme son nom l'indique, représente un lac complètement gelé sur lequel il sera possible de marcher.
Les démons et les monstres sont quant à eux des humains qui ont trop utilisé de magie, se transformant en des créatures que nous devrons combattre tandis que d'autres auront la volonté de garder leur forme humaine.
M. Inafune sera présent à Japan Expo se déroulant du 5 au 8 juillet et nous devrions pouvoir lui poser quelques questions afin d'en apprendre encore plus sur ce Soul Sacrifice, affaire à suivre sur MediaGen.