La console de salon portable fête son premier anniversaire. L'occasion de revenir sur son succès et le retour de Nintendo au premier plan.
Il y a un an, Nintendo sortait la Switch, sa nouvelle machine. Sa particularité ? Il s'agit d'une console de salon portable, prenant la forme d'une tablette pouvant être posée sur un dock qui projette l'image sur un écran. Il est ainsi possible de jouer chez soi, sur son canapé face à son téléviseur, ou à l'extérieur, dans un parc, les transports en commun, au bureau, etc.
Avec cette console, Nintendo jouait son avenir. Après les ventes plus que décevantes de la Wii U, le constructeur japonais se devait de réussir. Un pari loin d'être gagné : l'échec du successeur de la Wii a terni l'image de la société qui, avec une communication semblant parfois un peu hasardeuse, a semé beaucoup de confusion dans la tête des joueurs.
Il faut dire que la Nintendo Switch a été annoncée très tôt, en mars 2015, sous le nom de code NX. Le géant nippon a pris tout le monde de court : la Wii U fêtait à peine ses deux ans (sortie fin 2012). S'en est suivi un long silence radio jusqu'en novembre 2016. Vingt mois emplis de rumeurs qui tantôt se confirmaient, tantôt se contredisaient, où toutes les hypothèses étaient étudiées, etc. Puis est enfin arrivé le 20 octobre 2016, date choisie par Nintendo pour présenter sa nouvelle console (sans prévenir). Puis le silence, à nouveau, jusqu'en janvier et la vraie présentation de la machine.
Et là, ce fut le scepticisme chez la plupart des joueurs. Si le concept a séduit, différents points venaient noircir le tableau : le prix, la mémoire interne, le line-up de lancement qui ne reposait globalement que sur un jeu (mais quel jeu !), la composition de la boîte de la console (le grip d'origine ne chargeant pas les Joy-Con), le online qui deviendra payant à terme, et enfin les caractéristiques techniques. Il faut dire qu'à une époque où les débats se faisaient sur base du nombre de pixels ou d'images par seconde (et c'est toujours le cas actuellement), avec la sortie de la PS4 Pro quelques mois auparavant et le teasing autour de la Xbox One X, Nintendo partait clairement avec un train de retard.
Commenter 7 commentaires
Vous êtes trompés sur la date, c'est pas 2017 mais 2016. La console a été présentée en 2016 et est sortie en 2017.
Des soucis avec les joycons, réparés assez vite par Nintendo…
Regretté aussi de devoir acheter un gamegrip chargeur pour remplacer celui nonchargeant fourni d’origine comme mentionné…
Mais je regrette toujours la très/trop faible puissance de la Switch, et aussi son côté portable dont je ne me sers jamais, contrairement à pas mal de personnes, et qui a poussé à la limitation de la puissance…
Ma X a pris le lead sur ma Pro et ma Switch, et je ne prends plus que les exclus sur ces 2 dernières consoles.
Je pense que la Switch a proposé un nouveau mode/manière de jouer pour ceux qui sont intéressés par sa portabilité, mais pour moi j’aurais apprécié un modèle uniquement de salon, avec une puissance à la hauteur d’une X par exemple…
Très content de son succès qui a permis à Nintendo de repartir de plus belle…
La console est presque parfaite (si y avait eu deux stands au lieu d’un ridicule, et avec une politique tarifaire plus honnête sur les portages et indies).
Une très belle leçon de savoir faire, et je suis curieux de voir ce que va donner le Nintendo Labo...
Très bon dossier résumé!
En gros tu n'as rien compris à la philosophie Nintendo Ni même au concept de la Switch
Si tu souhaites des graphismes alors reste sur la X ou Pro. Pourquoi vouloir absolument que Nintendo propose quelque chose que les autres proposent déjà... Ton discours tourne en rond !
Ceci dit bravo GG pour ce dossier !
Je crois en la Switch, il faut juste que Nintendo garde le rythme jusqu'à l'E3 pour que les joueurs gardent la foi xD
Cette année risque d'être croustillante !