Way of the Samurai 3 : Suivez la voie du Bushidô avec PS3Gen dans notre test de Way Of The Samurai 3.
* On se relève après la chute...
La manette en main, le premier contact que nous avons avec notre héros est sa customisation. Dès le début, on vous proposera de choisir l’apparence de votre personnage. Plus vous avancerez dans le jeu et plus vous pourrez lui attribuer de nouvelles caractéristiques. Une fois notre samurai effectué à notre effigie, il est temps de débuter l’aventure.
La jouabilité de ce Way Of The Samurai n’est pas une chose facile. Les gestes de notre ami se font en plusieurs étapes. Tout d’abord, il faut savoir que la prise en main se fait immédiatement de prime abord. Votre samurai court à travers les différents champs japonisants et les personnages intermédiaires sont là pour vous guider. Pour parler avec eux, il suffit d’appuyer sur la touche action. Vous avez également la capacité de sauter, de vous mettre à terre pour vous soumettre et de dégainer votre katana. Mais à quoi ressemble globalement le jeu ? Nous pourrions le comparer à un GTA puisque tout vous est permis. Pillez, assassinez, explosez certains éléments du décor et faites ce que bon vous semble. Ensuite, nous avons les phases de combats, c’est ici que le gameplay coince un peu. En effet, une fois l’arme sortie de son fourreau, votre personnage se lock automatiquement sur votre adversaire. Utilisez par la suite des attaques légères ou lourdes pour infliger les pires sévices à votre opposant. Seulement, votre samurai est tellement rigide qu’il est difficile de le contrôler parfaitement. Les divers combos et combinaisons d’attaques s’enchaînent mal. Mais une fois le système compris, la maniabilité devient un peu plus souple même si ce n’est pas l’extase. Pour éviter un combat, utilisez la touche R2 pour vous échapper, ou soumettez-vous en vous mettant aux pieds de votre adversaire. A part cela, quoi d’autre ? Il vous est possible de créer des armes, de gagner des grades, d’apprendre de nouvelles techniques de choisir diverses réponses pour avancer dans l'aventure.
Pouvoir fabriquer son arme est un pur régal, mais le problème réside au niveau du port de celles-ci puisque vous ne pouvez qu'en transporter trois dans votre inventaire. N'hésitez pas également à utiliser votre carte dans les menus pour vous déplacer puisqu'elle est indispensable. Nous aurions apprécié un petit radar dans un coin de l'écran pour savoir où nous sommes situés exactement mais bon, il n'y avait pas encore de GPS au temps féodal... A savoir aussi que le système de sauvegarde peut être ennuyeux. Lorsque vous rencontrez un vieil homme portant une sorte de shamisen, vous pouvez alors préserver votre aventure en lui parlant. Seulement, si vous mourez entre temps, le jeu accumule vos points de compétences et vous redirige vers l’écran titre. Attention à ne pas supprimer votre sauvegarde en croyant reprendre là où vous en étiez sinon vous allez recommencer du début. C’est à vous de bien gérer votre progression dans le jeu.
Entre phase d’exploration, phase de combat, et les divers menus, l’apprentissage des touches se fera au fur et à mesure de l’aventure.
Commenter 9 commentaires
Personnellement, je pense que le scénario et plus important que les graphisme donc "I'm Happy!"
Merci pour le test.
WOTS m'aurait sans doute intéressé si le côté technique (oui le jeu date de 2008, mais j'y peux rien, j'ai du mal à m'y faire) aurait été un peu plus poussé.
Je ne demande pas du Uncharted 2, ou même du God Of War 3 mais quand même !
Pareil, les graphismes n'attirent pas du tout mais une fois la galette dans la console j'ai pas pu lâcher le jeu !! Pour te dire, un des dénouements m'a donné des frissons, j'ai les poils qui s'hérissent rien que d'en parler
Choisir sa propre voie, c'est vraiment top ! Vivement un quatrième épisode digne de ce nom
Car passé le côté technique, le jeu est attirant sur plus d'un point.
Surtout qu'apparemment il n'est pas à 70e ?
Trés bon test merci
mais en voyant votre test j'ai bien envi de l'acheter, adorant cet univers féodal