The Witcher 3: Wild Hunt : Le jeu du salon ?
Et les graphismes dans tout ça ? En un mot : la baffe. Non content d’opter pour le gigantesque, The Witcher 3: Wild Hunt affiche une technique tout bonnement hallucinante, aussi bien dans la modélisation (character design au top et bourré de détails, avec un beau travail sur les armures), les effets visuels (les cheveux et les arbres qui bougent au gré du vent), la profondeur de champ (des arrières-plans à perte de vue, même dans une forêt dense) et les décors infinis (imaginez des joutes se déroulant sur un espace ouvert). Ajoutez à cela des conditions climatiques ayant un impact sur le gameplay (essayez de conduire un bateau en pleine tempête pour voir…) et un cycle jour/nuit ébouriffant de réalisme. En sachant que jeu n’en est qu’au stade pré-alpha, cela laisse augurer du très, très lourd (il y avait des bugs visuels de collision). D’ailleurs, il est à noter que Jonas Mattson a promis des versions PS4, Xbox One et PC similaires à tout point de vue.
Sinon, comme son nom l’indique, The Witcher 3: Wild Hunt axera son gameplay sur la traque. Grâce à sa vision Witcher, Geralt pourra pister les viles créatures terrorisant les populations locales (elle fait apparaître les traces laissées sur le sol). Dans la démonstration, le héros devait se débarrasser d’un Leshen, un ennemi capable de se muer en nuée de corbeaux pour se déplacer plus rapidement. Le problème ? Pour l’occire une bonne fois pour toutes, il fallait d’abord trouver le PNJ auquel il s’était lié, pour éviter qu’il ne renaisse. Forcément, après avoir découvert son identité, il s’agissait de faire un choix : sacrifier ou ne pas sacrifier.
Il y a donc de quoi faire dans The Witcher 3: Wild Hunt et les développeurs nous ont promis des dizaines et des dizaines d’heures de jeu. L’architecture générale et le level design font qu’il sera difficile de s’axer uniquement sur l’histoire principale, ce qui devrait aboutir sur un long périple, riche en rixes jouissives – visiblement encore un peu rigides – face à un bestiaire éclectique (pas de boss d’ailleurs, mais des affrontements qui diffèrent d’une espèce à l’autre) et en découvertes inouïes.
Vous l’aurez compris, The Witcher 3: Wild Hunt n’a eu besoin que de quelques minutes pour faire forte impression. En partant d’une base solide (un vrai univers et un personnage fort) pour la transcender sans limites, CD Projekt Red prend le pari fou de proposer le RPG occidental ultime. Skyrim n’a qu’à bien se tenir…
Commenter 6 commentaires
Je connaisser pas la licence mais la vidéo présenter pendant l'E3 ma vraiment fait envie et maintenant je suis tout ce qui concerne le jeu. Ses impressions confirme que c'est un jeu a suivre.
Et j'attend celui là de pied ferme, surtout que je ne suis pas très PC. La licence et bonne mais ça ne me fait toujours pas plus accrocher au gameplay PC que tous vente alors qu'on éparpille sur des tas de touche.
Et que des fois on s'y perd même en ayant fait ça propre config de touche.
Enfin bon vivement ce wild hunt.
Que je prendrait sur console bien que certain dise que ce type de jeux n'y est pas adapter alors que plein de jeux ont prouvé le contraire.
Mais j'espère tout de même qu'il offriront le 1er et le 2ième sur PS4 a cause de la promesse non tenu de la sortie du 2 sur PS3 dont ils ont utilisé comme excuse qu'ils offrirais le 1 pour finalement tout simplement l'annulé.
Pour le deux c'est une fausse excuse tout le monde savait que Microsoft avait payer l'exclue temporaire sur sa console et a ensuite repayer pour qu'il ne sorte jamais sur PS3.
Par contre je préférerai le faire sur pc évidemment mais faudra que je fasse un upgrade.. (enfin verrai d'ici 2014^^)