Warhammer 40,000: Inquisitor - Martyr : Diablo-like au développement douloureux, le nouveau titre de la franchise Warhammer 40,000 peine à nous convaincre malgré quelques bonnes idées. Ce n’est pas toujours dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes !
Warhammer 40,000: Inquisitor - Martyr, le dernier-né de la longue lignée des adaptations de la saga Warhammer, est enfin arrivé. Cette fois-ci, nous avons droit à un hack'n'slash développé par NeocoreGames, connu pour The Incredible Adventures of Van Helsing, qui touche pour la première fois à la licence de Games Workshop.
L’histoire du jeu n’est guère passionnante et son intrigue de base est probablement plus courte que le titre à rallonge qui orne sa jaquette.
Nous avons amorcé l’aventure dans le secteur de Caligari, infesté de créatures démoniaques et de collègues Inquisiteurs morts un peu partout. C’est à bord du Martyr, un gigantesque vaisseau spatial à priori tout ce qu’il y a de plus fantôme, que l’aventure commence. Dans la peau d’un Inquisiteur armé jusqu’aux dents, il faut mener l’enquête pour comprendre ce qui est arrivé à l’équipage, tout en faisant le ménage dans les couloirs arpentés par les hordes du Chaos. Évidemment, une bonne vieille conspiration vient se profiler au milieu de tout ça, comme si la situation n’était déjà pas assez compliquée.
Inutile de tourner autour du pot : l’histoire du jeu n’est guère passionnante, et son intrigue de base est probablement plus courte que le titre à rallonge qui orne sa jaquette. Malgré le lore colossal de l’univers développé par Games Workshop, le scénario du vaisseau en perdition n’a assurément rien d’original.
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