TEST - Super Mario 3D World : un plombier qui a du chat-rme ?

Terminé en ligne droite en environ 7 heures, Super Mario 3D World regorge en fait de choses à faire. Une fois le boss de fin déchu, des univers bonus (oui, au pluriel) s'ouvrent alors, permettant de jouir un peu plus longtemps de l'aventure. Par ailleurs, les fanatiques du 100 % se sentiront obligés de revenir dans chaque niveau pour récupérer toutes les étoiles vertes et les sceaux disséminés un peu partout. De quoi rajouter facilement de nombreuses heures au compteur. Il est dommageable toutefois que la récolte de certains objets nécessite la possession d'un item en particulier (la plupart du temps le costume de chat), même si ce dernier n'est pas disponible dans le niveau.

La difficulté est globalement mal dosée.

Autre aspect amusant, les niveaux de Capitaine Toad. Jouables uniquement en solo, ces passages se jouent au Gamepad. Le joueur y incarne Toad et doit récupérer les cinq étoiles du niveau... sans sauter. Il est alors nécessaire d'incliner la caméra en suivant le bon angle pour savoir quel chemin emprunter. La difficulté n'y est toutefois pas vraiment poussée et rend ces instants anecdotiques.

En parlant de difficulté, celle-ci est globalement mal dosée. Super Mario 3D World est relativement simpliste sur ses débuts, de quoi engranger un grand nombre de vies, puis devient sans transition beaucoup plus ardu. Même les différents niveaux d'un même monde ne sont pas homogènes et certains se traversent d'une traite alors que le précédent pouvait être un véritable parcours du combattant digne d'un Die&Retry. Heureusement, les différentes particularités des personnages jouables permettent de s'adapter aux diverses situations, mais cela ne suffit pas toujours à passer une étape sans perdre une demi-douzaine de vies.