Assassin's Creed III : Une autre réalité s'offre à Connor.
Alors rêve ou réalité ? Seule la fin du troisième épisode pourra vous dévoiler la vérité. Mais une chose est sûre : cette trilogie apporte du sang neuf à la narration d'Assassin's Creed III. Les plus terre-à-terre des joueurs y trouveront des idées absurdes comme les pouvoirs de devenir invisible ou de voler, mais ceux qui sauront laisser libre court à leur fantaisie pourront apprécier ces ajouts qui offrent une nouvelle profondeur au gameplay.
Bien entendu, les sceptiques bouderont ces DLC pour leur côté loufoque, mais les autres apprécieront la prise de risque d'Ubisoft. Le studio a su proposer une alternative à l'histoire de base des ancêtres de Desmond, tout en lui donnant une once de crédibilité dont la source n'est connue qu'à la toute fin de la trilogie de DLC. En guise de verdict, nous avons été conquis par cette tentative de proposer quelque chose de nouveau, malgré tout plausible.
C'est donc votre sensibilité à découvrir une part d'irréel qui fera toute la différence lorsque vous vous retrouverez face à un Georges Washington devenu roi despote plutôt que premier président des États-Unis d'Amérique. Quoi qu'il en soit, malgré les quelques bugs d'affichage découverts tout au long de ces contenus additionnels et des ombres des visages toujours aussi mal réalisées, ces trois DLC seront indispensables à qui fera abstraction des largesses prises par les scénaristes. Le pari d'Ubisoft peut s'avérer payant... ou non.
- Une histoire parallèle prenante
- De nouveaux pouvoirs intéressants pour le gameplay
- 5h30 (minimum) de jeu en rab
- Les graphismes non améliorés
- Toujours les mêmes bugs des ombres des visages
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