Razer lance la Raiju, qui s'avère être presque le même modèle que la Wildcat sur Xbox One. Pour le meilleur et le moins bon.
Avant de passer à la personnalisation des boutons, attardons-nous d'abord sur le panneau de configuration situé sur la partie inférieure de la Raiju, qui comporte quatre touches et un port Jack 3.5 pour brancher des écouteurs ou un casque compatible.
Les gâchettes additionnelles deviennent rapidement un atout majeur.
L'utilisateur peut, grâce à ce panneau de contrôle, agir sur la partie sonore en coupant son microphone à la volée ou en modifiant le volume. En restant appuyé sur ce dernier bouton, il est même possible de régler le son plus précisément avec les flèches directionnelles haut et bas. Les deux autres touches du panneau servent quant à elle à changer de profil (un de base et deux autres personnalisables, indiqués par des voyants verts) et surtout à paramétrer les quatre bumpers et gâchettes. Les bumpers, placés sur la tranche supérieure juste à côté des L1/L2 et R1/R2 sont positionnés de manière assez délicate, les rendant difficile d'accès dans le feu de l'action. Si le joueur décide les garder sous l'index, ce sont alors les touches L1 et R1 qui deviennent difficilement atteignables rapidement. Notez que des boutons physiques permettent de raccourcir la course de ces bumpers, mais la différence est presque imperceptible. Une option similaire (à réaliser avec une combinaison de touches cette fois) existe pour raccourcir la course des gâchettes L2 et R2, mais là encore, la différence est difficilement palpable.
Viennent enfin les gâchettes situées sous le majeur, et là, leur utilité est grande. Faciles d'accès, répondant au doigt et à l'œil grâce à leur course très courte, celles-ci deviennent rapidement un atout majeur, permettant de leur attribuer des touches indispensables dans certains jeux, mais plutôt difficiles d'utilisation, comme R3 qui correspond souvent à une attaque au contact dans les FPS. Libre à chacun de trouver la bonne combinaison selon son titre favori, la Raiju embarquant pour rappel deux profils personnalisables. Enfin, si jamais l'utilisateur décide de se passer de ces gâchettes additionnelles (qui gênent la prise en main si elles ne sont pas utilisées, le dessus du majeur tapant dedans), il est possible de les retirer facilement grâce à une simple vis.
Commenter 9 commentaires
Moi qui pensait que j'allais trouver une Elite-like pour ma Pro, je suis bien déçu…
On a l'air très loin de l'Elite (que j'adore sur ma xbo).…
Le fait que la razer ne soit que filaire est pour moi un vrai nogo…
Je pense que ma Scuff est nettement au dessus, mais elle est très chère…
A quand un vraie Elite pour Pro ?
Bonsoir,
Si tu essayes une Elite, tu vois/ressens vraiment la différence avec les autres manettes…
Mais hélas il n'y a pas d'Elite sur Pro/ps4…
Elle propose quoi de plus la manette Elite par rapport a celle-ci ?
Je pense qu'en effet il faut vraiment en avoir une dans les mains pour le comprendre... Dommage que ce soit si cher cependant, j'aurais vraiment du mal à acheter un produit du genre sans avoir pu la tester un minimum
Deja une qualité de fabrication plus élevé , dans le choix des matériaux et des ajustements , et surtout des gâchettes arrière vraiment plus pratique , et de plus la elite peut être configurer directement par l'interface avec des fichiers déjà dispo suivant le jeux .On rajoutera le sans fils , le démontage des accessoires sans outils et elle a deux zones de mémoires de configuration