TEST - Pokémon Link: Battle! - Pikachu à la sauce Candy Crush Saga pour un jeu eShop savoureux

Vous connaissez le concept popularisé (mais pas inventé) par Candy Crush Saga, qui est celui de créer des groupes d'icônes sur un écran quadrillé pour les faire disparaître et faire avancer la partie ? Dans Pokémon Link: Battle!, l'idée est la même, mais avec nettement plus de subtilités et de profondeur. Dans chaque niveau, une série de un ou plusieurs Pokémon nous fait face, et nous devons nous en débarasser pour passer à l'individu ou au groupe suivant ; et ce n'est qu'une fois tout ce beau petit monde éliminé que nous sommes autorisés à passer au suivant.

Les affinités entre types d'attaques et de créatures sont ici au cœur des débats, avec la possibilité d'effectuer plus ou moins de dégâts en fonction du type de la première chaîne de mêmes créatures alignées sur l'écran. Il faut en effet aligner trois Pokémon pour lancer une attaque, avec la possibilité de prendre une icône et de la déplacer n'importe où sur le quadrillage ; en aligner quatre ou cinq permet de viser plusieurs adversaires, en aligner six double la puissance de notre coup à venir. Mais après avoir réalisé une première chaîne, nous avons un court laps de temps pour en concevoir une deuxième, une troisième, une quatrième...

Si nos liens s'enchaînent rapidement, un mode combo+ est declenché, et cette fois, il suffit de lier deux Pokémon pour les faire disparaître de l'écran : ils ne seront cette fois pas remplacés, mais bien supprimés, notre objectif étant désormais de vider le quadrillage au plus vite pour accroître rigoureusement et rapidement la puissance de notre coup. Des Metamorphs, capables de remplacer n'importe quel Pokémon dans une chaîne, arriveront alors pour nous aider dans cette tâche.

Et si le combo+ est terminé et l'écran vidé, un Link est réalisé, et l'écran se remplit de nouveau : nous avons le loisir de poursuivre notre chaîne et de renforcer notre attaque indéfiniment. Ce n'est que lorsque nous n'avons plus de possibilité de réaliser des chaînes ou que nous attendons trop longtemps avant d'en créer une nouvelle, le laps de temps laissé diminuant au fil des liens, que l'attaque se lance enfin avec plus ou moins d'effet, selon les critères énoncés précédemment.