TEST - Paper Mario: Color Splash - Les goûts et les couleurs, ça se discute

La prise en main de Paper Mario: Color Splash se divise en deux parties, l’exploration et les combats. Ainsi, nous pouvons nous balader dans différents niveaux qui peuvent être débloqués en résolvant différentes quêtes et énigmes. Mario peut sauter, mettre des coups de marteau et redonner vie à certains éléments de décor ayant perdu des couleurs.

La prise en main de Paper Mario: Color Splash se divise en deux parties, l’exploration et les combats.

Chose plutôt agaçante, Mario ne peut pas... courir. Progresser dans les univers avec un rythme un peu plus virulent n'est pas chose possible. Alors quoi ? Le joueur avance avec un rythme constant et soutenu, en tapant du pied de temps à autre. En outre, le jeu joue sur les plans pour faire chauffer les cerveaux. En effet, certains passages, inaccessibles au premier abord, peuvent être dégagés en utilisant la fonction découpage. Le monde en 3D se transforme en une feuille de papier, l’écran tactile devient alors un outil de travail permettant de découper et de supprimer certains obstacles pour continuer notre chemin. En un mot : amusant.

Les affrontement, eux, sont assez épuisants et redondants ; disons que ce sont les commandes à accomplir avant une offensive qui fatiguent. Paper Mario: Color Splash se base sur un « système de cartes », cartes ayant des compétences uniques. Via le GamePad, il faut donc choisir ses cartes, ensuite confirmer la sélection, les peindre si elles sont en noir et blanc afin de les booster en puissance, confirmer la peinture, puis les faire glisser dans le jeu pour donner un ordre à Mario... Le gameplay inclut trop d'étapes fastidieuses pour réaliser une simple action, c'est agaçant et horripilant par moment. Quant à la défense, rien de plus facile, il suffit d'appuyer sur une touche afin de se protéger lors d'une attaque adverse à un moment précis, ni plus, ni moins.