TEST - Kingdom Hearts HD 2.8: Final Chapter Prologue - De la magie dans l'air ?
par Martial DucheminKINGDOM HEARTS HD 2.8: Final Chapter Prologue : Une nouvelle compilation Kingdom Hearts a fait son apparition, il est temps de vous livrer nos impressions.
Square Enix a pris la décision de sortir une énième compilation en exclusivité sur une machine PlayStation. Ainsi, la PS4 a accueilli Kingdom Hearts HD 2.8: Final Chapter Prologue, regroupant Kingdom Hearts 3D: Dream Drop Distance, Kingdom Hearts 0.2: Birth by Sleep - A Fragmentary Passage et Kingdom Hearts X Back Cover. Nous nous sommes donc lancés dans ces aventures afin de vous livrer nos brèves impressions. Qe pouvons-nous en dire ?
Le rendu est vraiment plaisant à l’œil, le moteur arrive à émoustiller les mirettes.
Tout d'abord, commençons avec Kingdom Hearts X Back Cover. Ici, le joueur devient spectateur et découvre uniquement une longue vidéo sympathique apportant quelques précisions sur la saga Kingdom Hearts. Le rendu est vraiment plaisant à l’œil, le moteur arrive à émoustiller les mirettes. En parlant de titiller, Kingdom Hearts 0.2: Birth by Sleep – A Fragmentary Passage use de l'Unreal Engine 4 pour charmer et il faut dire que ça marche. Cet épisode inédit est vraiment superbe dans l'ensemble. Les textures sont nettes et clinquantes, les jeux de lumière sont maîtrisés, les graphismes aguichent les pupilles ; mention spéciale aux nombreux Sans-cœur affichés à l'image, impressionnants. Petits défauts néanmoins, le jeu subit divers légers ralentissements et en arrière-plan, nous pouvons distinguer un léger aliasing.
Pour finir, du bon travail (sans réellement sauter au plafond) a été accompli concernant Kingdom Hearts 3D: Dream Drop Distance. Et pour cause, le titre est propre, lisse et coloré. Et ? C'est tout... Bien que les 60 fps apportent un confort visuel non négligeable, les environnements sont vides, les textures sont plates, pour faire simple, nous avons affaire à un jeu qui était optimisé pour une portable, et forcément, sur une console de salon, cela se ressent (un peu trop par moment). Dommage de ne pas avoir ajouté quelques éléments par-ci, par-là pour apporter un petit plus à cette adaptation.
Et la bande-son dans tout cela ? Nous avons des mélopées prenantes, poignantes, envoûtantes et énergiques, collant parfaitement aux divers univers, en d'autres termes, les esgourdes apprécient les différentes notes jouées. En revanche, concernant le doublage, seule la langue de Shakespeare est imposée. Alors oui, l'anglais est de très, très bonne facture, mais il aurait été plaisant d'avoir accès à d'autres langues. Pour le coup, le français manque cruellement pour une bonne immersion, et le japonais se fait désirer pour les puristes...
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