Test
geio robot 007

TEST - GEIO : je suis GEIO, le petit robot, l'ami d'Ulysse...

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Qu’est-ce qui arrive emballé dans un cube de près de 20 cm de côté et qui pèse un kilo ? Le GEIO !

Finalement, la notice qui faisait bonne impression au départ semble bien légère, car à part de petites vidéos d’illustration dans l’application, aucune autre information n’est proposée pour une meilleure découverte du robot. Cette dernière nous laisse cependant voir que les GEIO  semblent être conçus pour se cogner physiquement également (cela rapporte des points) et que des totems en carton semblent jouer un rôle dans le jeu, notamment pour terminer un parcours en mode « course ».

Les mouvements de la caméra et de la tourelle sont indépendants des déplacements latéraux.

geio robot 003Retour dans l’application, histoire d’essayer de mieux faire connaissance. Nous y trouvons huit modes de jeu, un menu, des réglages, plusieurs vitesses de déplacement proposées, le choix de la langue et le mot de passe paramétrable pour se connecter au robot. Tout ce qu’il faut pour contrôler et paramétrer le robot, mais relativement peu de choses pour mieux cerner comment jouer.

Le mode « première personne » s'active avec un bouton au milieu de l'écran : la caméra embarquée sur le robot nous affiche ce qu’il voit sur l’écran de la tablette ou du smartphone. Génial pour les missions furtives, mais un peu compliqué de s’y retrouver, car comme les mouvements de la caméra et de la tourelle sont indépendants des déplacements latéraux, nous pouvons nous cogner sur le côté. Et si nous voulons tirer, il faut utiliser l’autre croix directionnelle, à droite de l’écran, pas évident du tout. Sûrement une habitude à prendre à nouveau.

geio robot 001En solo, le mode « course » permet de se faire la main avec le GEIO, mais pour rentrer dans le vif du sujet, c’est à dire, le combat, il faut deux robots qui communiquent. En fait, chacun d'eux est un point d’accès Wi-Fi, auquel doit se connecter un smartphone ou une tablette, et ce sont ces éléments qui doivent ensuite communiquer, en Bluetooth... Pas le plus évident à mettre en place. Et encore moins, pour que cela fonctionne ! Il nous a fallu d’innombrables essais et 4 appareils différents (1 téléphone et 3 tablettes), pour finalement réussir à faire une partie en mode « combat ».

Il demeure difficile de savoir s’il s’agit de défaut dans les applis (peu importe que ce soit Android ou iOS, quoique sur iOS cela semble particulièrement capricieux), ou une mauvaise manipulation de notre part, mais il a fallu beaucoup persévérer avant de réussir à faire fonctionner le jeu, et notamment à comprendre que sur les applis il fallait choisir une couleur différente pour chaque robot afin qu’ils puissent combattre... Décidément, la documentation est sûrement un peu trop minimaliste pour un produit aussi avancé.

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