TEST - Call of Duty: Black Ops III - Faut-il craquer pour le DLC Descent ?

Le 6 novembre 2015, les joueurs découvraient Call of Duty: Black Ops III, le nouvel épisode de la célèbre série de FPS éditée par Activision et cette fois-ci développé par Treyarch. Pour ce volet, les DLC sont temporairement exclusifs à la PlayStation 4 de Sony.

En février arrivait l'extension Awakening, puis Éclipse en avril, qui proposent chacun quatre nouvelles cartes pour les modes multijoueurs ainsi qu'une autre inédite pour le mode Zombies. Les développeurs sont revenus il y a un mois avec Descent, une extension qui comprend autant de maps, avec notamment Empire, un remake de Raid qui était présente dans Call of Duty: Black Ops II. Alors, cette extension confirme-t-elle la règle, à savoir un bon Zombies, deux nouvelles cartes intéressantes, une oubliable et un remake ? La réponse dans ce court test.

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Après avoir visité un vieux château autrichien dans Der Eisendrache, puis une jungle japonaise très hostile avec Zetsubou No Shima, les quatre héros sont cette fois parachutés en plein cœur de Stalingrad, la ville russe. Mais attention, l'ambiance de Gorod Krovi ressemble ici non pas à ce que nous pouvons retrouver dans le film de Jean-Jacques Annaud, mais bien à celle du Règne du Feu. Pour cause, il y a des dragons. 

L'action se passe aussi dans le ciel où les dragons survolent la zone.

Encore une fois, la carte proposée pour le mode Zombies est très, très grandes, avec plusieurs passages alternatifs à découvrir grâce à des portes dérobées, et le décor est impressionnant. Outre l'apocalypse au sol, avec des débris de véhicules et de robots géants en flamme, l'action se passe aussi dans le ciel où les dragons survolent la zone, descendant de temps en temps pour cracher leurs flammes sur les zombies, mais aussi sur les joueurs s'ils sont un peu trop près. Une technique un peu risquée, mais efficace pour éliminer rapidement les groupes de morts-vivants. Question secrets, il y a encore une fois de quoi faire, tout comme avec les nombreux interrupteurs, la table de crafting et la boîte mystère, qui propose une nouvelle arme : le GKZ-45 Mk3, un pistolet laser qui lance des mini trous noirs avec son tir alternatif.

Concernant le côté visuel, Gorod Krovi fait plaisir aux fans de la Seconde Guerre mondiale, avec une ambiance de violente bataille bien palpable, tout en gardant une part de fantastique. Au milieu des chars et des avions se glissent des engins mécaniques inconnus comme des robots géants ou des drones, qui donnent d'ailleurs du fil à retordre lors de la 10e manche. Les maisons en ruines ouvrent de multiples passages, à condition d'éviter les flammes et d'ouvrir des accès secondaires avec des points, et les pièges sont dévastateurs, notamment le puissant rayon laser qui découpe tout ce qui passe devant lui, zombies comme joueurs. Décidément, il faut faire attention à ses arrières. Survivre un maximum de manches n'est encore une fois pas une chose aisée, mais quatre nouveaux Gobblegum peuvent aider les chanceux qui les trouveront.