Ride to Hell: Retribution : Sans oublier les grosses motos.
Passons aux choses sérieuses, la jouabilité. Les graphismes d'un jeu vidéo ne font pas tout du moment que la prise en main est bonne. Convaincus ? Eh bien non, c'est reparti pour un tour. Le gameplay est affreusement lourd. Durant un affrontement, nous pouvons donner des coups de poing et de pieds à notre adversaire. Selon les endroits, nous interagissons avec les décors pour éliminer nos opposants rapidement. Nous avons également la possibilité d'utiliser des armes pour nos défendre. Le tout est orchestré par des scènes QTE élémentaires et complètement inutiles. Se tromper de touche n'est pas pénalisant durant ces phases puisque nous avons une sorte de timer pour appuyer sur le bouton. C'est limite ennuyeux...
Des scènes QTE élémentaires et complètement inutiles.
Passons à la partie grosse cylindrée. Pour sûr, il nous est possible de monter sur notre bolide à deux roues et de foncer sur les routes américaines. Gros point noir, encore, nous ne sommes pas libres de nos mouvements. Nous partons d'un point A vers un point B en suivant une ligne droite, tout en évitant les obstacles ; du moins quand nous le pouvons. En effet, diriger sa bécane demande le doigté d'un expert de la gâchette. Les commandes ont du mal à répondre par moment.
Une sorte de quartier général est présent où nous pouvons y échanger de la drogue, personnaliser notre moto ou choisir une mission à accomplir. En bref, et pour finir, il vous faudra entre six et sept heures pour achever cette blague vidéoludique.
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