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Ride to Hell Retribution logo vignette 05.07.2013.

TEST – Ride to Hell: Retribution – Sexe, drogue et Rock'n'roll

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Ride to Hell: Retribution : Sans oublier les grosses motos.

Comme dit précédemment, nous incarnons Jake Conway. Cet ancien soldat, perturbé par son passé, retrouve sa famille après plusieurs années. Une balade à moto avec notre frangin, une altercation avec une bande de loubars mal léchés, les Devil's Head, le petit frère assassiné sous nos yeux, ces vilains malfrats nous laissant pour mort suite à cette querelle, et c'est parti pour cette folle aventure. Ce Ride to Hell: Retribution reprend le scénario d'un Kill Bill du pauvre. « Les méchants pensent que je suis mort, je vais me venger », telle est la dure loi de ce petit bout de jeu. Ajoutez à cela des affaires de drogues et des moments intimes avec de belles demoiselles et vous obtenez une grosse salade, avec plusieurs ingrédients, n'ayant aucun goût en bouche. Les premières minutes sont d'ailleurs à mourir de rire tellement les phases de jeu et les cinématiques sont mal encastrées. Par moment, il est même difficile de suivre le déroulement de cette histoire...

En deux mots : au secours !

ride_to_hell_screenshot_04D'un point de vue graphique, c'est catastrophique. Nous avons vérifié sur notre calendrier et oui, nous sommes bien en 2013. Ride to Hell: Retribution n'est pas du tout à la hauteur des machines actuelles. Sans compter les innombrables temps de chargement, le titre est orné de bugs en tout genre. Des problèmes d'affichage de textures, des modélisations ridicules, des expressions faciales risibles, des ralentissements et une gestuelle trop rigide, sans oublier le tearing et les freeze. Soyons clairs, nous sommes à la limite d'une production PlayStation 2. En deux mots : au secours !

Pour parler rapidement de la bande-son, celle-ci est plutôt bonne ; enfin un point positif qui ne nous laisse pas indifférents. Nos esgourdes apprécient les fonds de Rock'n'roll qui collent parfaitement au thème de cette escapade. Cependant, les divers bruitages ruinent tous ces efforts. Des bruits fatigants et assourdissants explosent littéralement nos tympans. Au moins, les cinématiques sont gratinées de doublages en anglais plutôt corrects.

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