Skull and Bones : Nous avons joué au jeu de pirates d’Ubisoft, découvrez nos premières impressions !
Le système de batailles navales d’Assassin’s Creed IV: Black Flag a été un tel succès que Ubisoft a décidé de créer un jeu s’articulant autour de lui. Ainsi est né Skull and Bones, un jeu de pirates proposant de l’exploration et des affrontements épiques en multijoueur. Nous avons eu droit à une session de 30 minutes avec le titre, dans une partie PvPvE.
La prise en mains n’est pas vraiment difficile, mais assez différente de Black Flag pour nécessiter un certain temps d’adaptation.
Nous voici donc en mer, et là, c’est chacun pour soi. Des navires contrôlés par des joueurs ou l’intelligence artificielle affluent de toute part, il faut être réactif. Nous avions deux possibilités : affronter les vaisseaux ennemis et prouver que nous étions le roi des pirates, ou bien réaliser quelques objectifs sur la carte du jeu. Nous avons choisi la première option, car couler des bateaux, c’est cool !
Skull and Bones s’inspire donc de Black Flag, mais a un gameplay bien plus complet que son mentor. Ainsi, il y a plus de paramètres à prendre en compte : il y a plusieurs types de bateaux, chacun ayant ses propres armes, ses caractéristiques et une certaine façon de le piloter. En effet, le jeu intègre un système de vent, et chaque navire, selon sa forme, répond différemment à ces courants d’air.
La « conduite » est globalement semblable à celle de Black Flag, à quelques différences près (il faut maintenir la gâchette enfoncée pour aller plus vite, par exemple). Concernant les attaques, les contrôles restent les mêmes. En revanche, les effets changent, notamment grâce à la diversité des navires. Sur un vaisseau, nous allons envoyer une salve de tir. Sur un autre, des tirs individuels… Nous devrons prendre en compte les munitions et le temps de chargement, fini les tirs illimités. Nous avons toujours plusieurs types d’attaques (latérale, en avant, lourde), mais le jeu introduit les attaques spéciales. Chaque navire a la sienne : nous avons, par exemple, l’éperonnage en vue première personne, des tirs puissants vers l’avant, etc. La prise en mains n’est pas vraiment difficile, mais assez différente de Black Flag pour nécessiter un certain temps d’adaptation.
Une fois un navire ennemi coulé, nous pouvons récupère du loot. Le jeu nous propose de choisir entre des ressources et des kits de réparation. Il est aussi possible de faire des recherches sur les îles et de récupérer, entre autres, des chants de pirates. Eh oui, fort heureusement, ils sont de retour !
Visuellement, le titre reprend donc le moteur de son mentor, tout en l’améliorant et le rendu est plutôt agréable. Étant donné qu’il n’est plus possible de quitter son navire et de mettre pied à terre sur une petite île, les développeurs ont pu se focaliser sur les navires et la mer, soit les éléments essentiels dans un jeu de pirate.
Au final, cette prise en mains de Skull and Bones nous laisse une impression plutôt positive. Il demande certes un temps d’adaptation pour les habitués de Black Flag, mais une fois le gameplay pris en main, il y a de quoi s’amuser.