Killzone: Shadow Fall : La baffe graphique a-t-elle transformé l'essai ?
Killzone Shadow Fall… Ça y est, la PlayStation 4 est bel et bien là, jouable, et il n’y a sans doute pas mieux que la claque de février dernier pour prendre la DualShock 4 et s’embarquer pour un voyage vers la Next Gen, la vraie. Sans vidéo pré-calculée mentant sur la marchandise. Sans pétard mouillé en somme. Car, autant vous le dire d’entrée : ce que nous avons vu dans la première vidéo de présentation était bel et bien réel en termes de rendu graphique. Cette fois-ci, ce n’était pas une ville assiégée de toute part à laquelle nous avons eu droit, mais une forêt luxuriante. C’est une preuve que les environnements devraient être variés. Dans tous les cas, ils en mettent plein les mirettes, entre les textures archi-fournies, les multiples effets envahissant l’écran ou encore la fluidité exemplaire. C’est un fait : nous sommes bel et bien dans une ère nouvelle.
Côté gameplay, Guerrilla Games a semble-t-il opté pour un peu plus de liberté que dans les précédents opus. Ce qui est appréciable, autant pour le plaisir de jeu que pour l’approche des missions. Il faut dire que le héros, un Shadow Marshal – une unité d’élite NDLR – a suffisamment d’atouts dans sa manche pour multiplier les manières d’occire ses ennemis, les éternels Helghasts. D’ailleurs, il ne sera pas complètement seul pour mener à bien ses objectifs. Explications.
Effectivement, ce cher Vektan – encore un nom chelou, au passage – s’accompagne d’un drone dont il ne contrôle que les pouvoirs, pouvoirs à pré-activer via le touchpad situé sur la face avant de la DualShock 4 (mouvement vers le haut, le bas, la droite ou la gauche pour sélectionner ; gâchette gauche pour déclencher). Étant donné que le personnage possède, de base, des capacités à sélectionner par le biais de la croix directionnelle (un scanner pour étudier le terrain, une transformation de l’arme en fusil sniper qui one shot, un moyen de ralentir le temps/se régénérer), cela équivaut à deux manières d’obtenir des raccourcis.
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(Pour l'IA pas de soucis à se faire je pense, vu comment elle était corsée dans les deux précédents volets, ça sera arrangé d'ici là).