Bien que le jeu soit en deçà de ce qui se fait de nos jours sur PlayStation 3 et Xbox 360 d’un point de vue graphique et technique, un on-ne-sait-quoi rend le périple particulièrement envoûtant. Les morts s’enchainent et c’est à chaque fois avec un plaisir indescriptible que nous replongeons dans l’enfer, progressant pas à pas, parfois même à reculons. Puis vient enfin le moment d’extase, la jouissance extrême lorsque le boss de la zone périt sous les coups d'épée. À l’heure où nous écrivons ces lignes, nos mains, moites à souhait, tremblent encore, mais, le sourire en coin, nous regrettons d’être sortis de cet enfer tant la tension et la jubilation étaient à leur paroxysme.
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