Un second journal des développeurs vient nous éclairer par ses couleurs or et noir.
Alors que le 26 août approche à grands pas, la jeune équipe de développement de Deus Ex: Human Revolution nous en apprend encore un peu plus sur les différentes cités que nous explorerons et l'identité visuelle mise en place par Eidos. Dans un premier temps, il nous est expliqué que le sentiment d'immersion sera renforcé par de très nombreux chemins, des appartements à fouiller, des e-mails à lire ou des interactions avec le décor. Les habitants de Heng Sha, Détroit ou Montréal qui se dresseront sur notre chemin ont tous leur propre style, leur propre personnalité et parfois leurs propres directives. Immersion toujours avec une centaine de marques imaginées pour plus de crédibilité et une véritable plongée dans un futur alternatif.
Par la suite, les graphismes purs sont mis en avant avec les milliers d'éléments modélisés pour plus de réalisme, et "empilés" pour un effet désorganisé demandé par le directeur de projet Jonathan Jacques-Belletête. Le choix de la cité principale, Détroit, n'est pas anodin : la ville actuellement en dérive sociale espère dans ce futur fictif redorer son image et son économie grâce à Sarif Industries qui nous vendrait des augmentations, les voitures du futur. Les actions de la trouble entreprise pourront être jugées par Eliza Cassan, la journaliste phare de l'entreprise médiatique canadienne Picus, qui n'a pas sa langue dans sa poche.
Finalement, l'île sur deux niveaux d'Heng Sha, au large de Shanghaï, apportera un souffle futuriste avec une cité à deux étages, fleuron de l'économie mondiale. Sa principale entreprise est la compagnie Tai Yong Medical, chargée de poser les augmentations les plus coûteuses du marché. Trois villes, trois entreprises majeures qui joueront un rôle dans l'univers très complexe de Human Revolution, et trois univers, pour au final un jeu qui s'annonce toujours aussi prometteur.