Le bébé de CyberConnect2 fait son grand retour sur les consoles du moment. Verdict ?
Bonjour les fleurs !
Souvenez-vous, en 2020, Bandai Namco a sorti un Dragon Ball attendu par énormément de fans sur PlayStation, Xbox et PC, le fameux Kakarot. Il s’agit d’un Action-RPG plutôt plaisant qui permet de découvrir le Dragon World sous une autre facette. En 2021, le titre a eu droit à un portage Switch convenable (lire notre test), cette fois, c’est au tour de la PS5 et des Xbox Series de jouir d’une nouvelle version. Nous avons pu tâter de cette édition, de quoi émoustiller les mirettes ?
Une expérience plus charmante et confortable.
Allons droit à l’essentiel, les développeurs ne se sont pas pris énormément la tête... En effet, de petits éléments ont été ajoutés par-ci, par-là dans les décors. La roche est légèrement mieux travaillée, la végétation est plus dense (selon les endroits, pas partout), certains effets de lumière semblent plus brillants, l’eau est plus gracieuse et... c’est tout. Le studio aurait pu profiter de ce portage pour modifier des aspects visuels qui font quelque peu grincer les dents des aficionados, à savoir le design des personnages et enlever l’espèce d’aura jaunâtre qui colle à la peau de nos héros. Certaines firmes profitent de ce « passage » à la next-gen pour ajuster les points déplaisants notés par la communauté. Pour Dragon Ball Z: Kakarot, malheureusement, CyberConnect2 s’est contenté du minimum. Vraiment dommage.
En outre, deux modes visuels sont disponibles dans les paramètres. Tout d’abord, nous avons Performance qui permet d’avoir un framerate stable dans les 60 fps. La fluidité fait vraiment du bien au jeu, les combats sont plus agréables, ainsi que l’exploration. Ensuite, nous avons Qualité. Ici le rendu est un brin plus net, l’arrière-plan est moins flou, les paysages sont un peu plus clinquants. Le nombre d’images par seconde, lui, vacille dans les 30 fps ; si les décors sont vides, le framerate semble augmenter un petit peu. Pour le coup, nous conseillons d’y jouer en Performance, les graphismes sont propres et les 60 fps apportent un confort supplémentaire au niveau de la prise en main.
Ensuite, et sans surprise, les temps de chargement sont dorénavant rapides. Les transitions entre chaque environnement se font soit en un claquement de doigts (en une ou deux secondes), soit instantanément. Quel soulagement ! Et pour ceux qui s’inquiétaient, pas de panique, le transfert de votre progression/sauvegarde est facile. Dans l’écran titre, il suffit de sélectionner l’option adéquate, ni plus ni moins.
Que dire finalement de cette nouvelle version ? Oui, c’est plus plaisant d’avoir divers ajouts visuels dans les décors et une image plus élégante, mais nous n’aurions pas été contre quelques ajustements sur l’aspect de nos saiyajin adorés. Au moins, des soucis comme les temps de chargement interminables et les ralentissements ont été réglés pour jouir d’une expérience plus charmante et confortable. Pour finir, si vous avez Dragon Ball Z: Kakarot à la maison (PS4 ou Xbox One), sachez une chose, la mise à jour « next-gen » est gratuite, ce qui est un bon point.
Vous pouvez acheter Dragon Ball Z: Kakarot à 29,99 € à la Fnac.
Lire aussi : TEST de Dragon Ball Z: Kakarot, un bel hommage aux fans
- Mise à jour « next-gen » gratuite
- Mode Performance, les 60 fps font du bien
- Temps de chargement rapides !
- Transfert de sauvegarde, efficace
- Des environnements plus soignés…
- … mais pas de quoi exciter la rétine non plus
- L’aura jaunâtre sur la peau toujours là, grrrr
- Plus d’ajustements visuels n'auraient pas été du luxe...