TEST - Sonic & All Stars Racing Transformed : les bolides de SEGA de retour

Dans le premier opus, la jouabilité se faisait instinctivement. Une touche pour accélérer, une autre pour freiner/déraper, un bouton pour utiliser ses pouvoirs, rien de plus facile en soi. Avec la venue de nouveaux véhicules, cet épisode prend-t-il une tournure particulière au niveau du gameplay ? Avion, bateau, voiture... de quoi perdre la tête ?

Ici, les grandes lignes sont conservées, alors pourquoi changer une recette qui marche ? Dans un style très arcade, nous exécutons toujours les mêmes manipulations pour finir en tête de course. Patiner lors d'un virage, foncer droit devant sans se poser de questions et utiliser des objets pour éliminer ses opposants. Si l'auto et le jet se dirigent aisément, le « navire », lui, manque de souplesse par moment. En effet, cette machine des mers a tendance à glisser lors d'un tournant important, rendant alors la jouabilité fastidieuse. Mis à part ce petit point noir, la maniabilité est diversifiée grâce aux différentes « transformations » ; procurant alors du fun à l’état pur lors de compétitions seul ou à plusieurs. Cependant, une console portable n'a pas le confort d'une manette. Appuyez sur les gâchettes pour accélérer et freiner peut paraître ennuyeux par moment. Si au début nous trouvons cela facile, il faut dire que maintenir la touche R, durant plusieurs minutes, peut donner quelques crampes.

Quoi d'autre ? Chaque piste se termine par l'obtention d’expériences. Ces points servent à augmenter son niveau et à remporter des pastilles permettant de changer les caractéristiques de son pilote. Des petits plus qui donnent la possibilité de devenir le roi du volant.