Driver : San Francisco

Dans sa nouvelle aventure, Tanner devra rattraper son némésis Jericho qui s'échappe du fourgon qui l'envoie vers son lieu de condamnation grâce à l'aide d'une belle inconnue. Blessé lors de l'escorte ratée, il subira des dommages collatéraux qui le plongent dans un coma, avant de reprendre conscience avec quelques séquelles le perturbant momentanément dans la réalité. Bref, le prétexte idéal pour inclure la fonctionnalité Shift, le système de changement de voiture instantané plutôt irréaliste imaginé par Ubisoft, qui n'hésite pas à comparer le fait de mêler réalité à fantaisie aux mécanismes de films comme Inception ou Source Code.

Nous pourrons donc prendre le contrôle des corps de pilotes environnant alors que le notre continue à conduire notre véhicule, et pourrons ainsi freiner la course de notre cible ou faciliter la notre. L'un des premiers exemples sera de conduire notre propre corps à l'hôpital après notre accident, mais d'autres situations seront prétextes aux cascades ou aux poursuites. A la fin du jeu, nous pourrons nous téléporter n'importe où sur les 300 kilomètres de route, dans les 120 véhicules licenciés en écoutant une soixantaine de musiques différentes.

Par ailleurs, nous pourrons nous divertir à travers les 19 modes multijoueurs dont certains sont compétitifs, d'autres coopératifs, en local ou en ligne, originaux ou inspirés de grands classiques comme la capture de drapeau.