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Les jeux vidéo et la politique : état des lieux

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À l'approche des élections présidentielles, état des lieux sur les liens entre politique et jeux vidéo.

 

Avec les trois plus gros éditeurs mondiaux, la France est l'un des acteurs les plus dynamiques au monde en matière de jeu vidéo. Malheureusement, le marché ne suit pas, les emplois ayant diminué de moitié dans le secteur, entre 1994 et 2005, en plus d'une production de jeux qui a baissé drastiquement. Depuis deux ans, la croissance est en berne. En France, en 2010, le marché des jeux vidéo perdait 2,1 % de sa valeur comparé à 2009, baisse qui continue en 2011 avec un chiffre d'affaire global qui chute de 6% par rapport à celui de 2010. À l'approche des élections, le syndicat national du jeu vidéo propose 10 mesures pour relancer le secteur. 

 

SNJV_logo

 

 

 


Petit rappel sur le SNJV1 :

Créé en 2008, dans la continuité de l'Association des Producteurs d’œuvres Multimédia (APOM), le SYNDICAT NATIONAL DU JEU VIDEO (SNJV), syndicat professionnel, rassemble :

  • Les entreprises de production de jeux vidéo et de programmes multimédia ludiques ;
  • Les personnes morales et physiques qui leur apportent un concours régulier, et notamment les créateurs indépendants, les éditeurs, les distributeurs, les organismes de formation publics ou privés ainsi que les laboratoires de recherche, publics et privés, réalisant des recherches en matière de jeux vidéo ou de technologies et techniques s’y afférant ;
  • Les associations professionnelles régionales œuvrant au développement de la filière jeu vidéo.

Aux fins de représenter et de défendre les intérêts de la profession, de promouvoir la production française de jeux vidéo en France et à l’international et de communiquer sur la filière auprès de tous ses observateurs.

 

Ci-dessous, les 10 propositions pour les candidats à l'élection présidentielle 2012 :

 

Renforcer l’outil de production des entreprises françaises du jeu vidéo par un meilleur accès à l’investissement.

MESURE N° 1 : Création du fonds d’investissement dans les entreprises du jeu vidéo.

MESURE N° 2 : Faciliter l’accès au capital développement pour les entreprises du secteur.

Créer un écosystème efficace pour le financement de la production française de jeux vidéo.

MESURE N° 3 : Créer des sociétés de financement de la production de jeux vidéo.

MESURE N° 4 : Pérenniser le crédit d’impôt jeu vidéo et l’adapter aux évolutions de marchés.

Soutenir efficacement les innovations des entreprises françaises du jeu vidéo.

MESURE N° 5 : Transformer le crédit d’impôt recherche en crédit d’impôt innovations.

MESURE N° 6 : Renforcer le dispositif de la JEI (Jeune Entreprise Innovante) et l’étendre à toutes les entreprises innovantes.

Créer un écosystème réglementaire stable pour la production.

MESURE N° 7 : Créer un statut de l’entreprise de création.

MESURE N° 8 : Adapter la réglementation juridique aux spécificités de production.

MESURE N° 9 : Adapter le droit du travail aux cycles de production du secteur.

Relever les défis de la compétitivité des entreprises françaises à l’international.

MESURE N° 10 : Soutenir le développement du jeu vidéo français à l’international.

 

t-dollars

 

En quelques mots, le secteur a besoin... d'argent. Une politique volontariste avec la création de fonds d'investissement, de société de financement, de facilités pour les crédits, etc. 

Dans cette optique, le gouvernement canadien avait réussi à dynamiser son secteur par la mise en place d'avantages fiscaux qui avaient attiré de nombreuses entreprises sur son territoire, comme Ubisoft au Québec. Pour plus de détails, voir notre dossier ici. Ce que réclame également le SNJV, c'est avant tout un peu d'attention, l'économie des jeux vidéo restant un sujet encore peu politisé. C'est par l'intermédiaire du « numérique » que nous parlons des jeux vidéo, les deux sujets étant liés. Pour plus d'informations sur le rapport du SNJV et l'économie des jeux vidéo, voir : http://www.snjv.org/data/document/10-mesures-cles-2012.pdf.


1 : présentation extraite du site du SNJV, pour plus d'informations : http://www.snjv.org/fr/syndicat1/

 

Commenter 13 commentaires

RoadKamelot
Des enfants sont morts dans la tuerie de Toulouse, mais des candidats font de la récupération pour obtenir des votes en impliquant tout est n'importe quoi pour servir leurs projets, c'est honteux.
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GazetteSDF
Perso, je sais pas comment faire mais je voulais envoyer ce courrier aux politiques par rapport au viol de notre droit à la propriété par la pratique des plus en plus courante de DLC pour les solo, voici ce que je voulais envoyer, les politesses en plus :

Nos droits sur les biens dématérialisés

[...] je souhaitai attirer votre attention sur le manque de droits pour nous consommateurs face aux biens dématérialisés, et principalement sur un marché qui prend de plus en plus d'ampleur à savoir celui des jeux vidéos.

Pour faire simple, je vais vous expliquez un cas concret, puis, deux exemple qui vous seront très certainement plus familier.

J'achète un jeu sur le PlayStation Network (PSN de Sony) ou sur le Xbox LIVE (LIVE de Microsoft). J'achète le jeu en dématérialisé, je le télécharge depuis le serveur du prestataire sur ma console. Il est lié à mon compte et à ma console. Si je veux revendre ce jeu que j'ai payé, pas loué, je ne peux pas. Si je veux le prêter à un ami, je ne peux pas.
Donc j'ai acheté un bien que je ne peux prêter ou céder. Si je revends la console, le nouvel acquéreur ne pourra pas en bénéficier non plus! Donc en suis-je réellement propriétaire?

Mais c'est pas le pire car ce n'est pas encore obligatoire d'acheter le jeu en dématérialisé. En revanche, je vais dans un magasin acheter la version physique de mon jeu. Si je le prends neuf, il faut encore que je me connecte pour activer ou télécharger des fonctionnalités de base et surtout que j'ai acheté. Par la suite, ils font en sorte que pour compléter le jeu, ils font des contenu téléchargeable supplémentaires payants (DLC).
Toujours le même problème, si je veux prêter ou vendre mon jeu, je ne peux prêter ou céder uniquement ce qui est accessible sur le CD sans activation, soit souvent 60 à 80% du produit de base et moins de 50% du produit complet avec les DLC. Hors je me suis acquitter de tous les frais d'achats qui peuvent atteindre les 100€ ... Et de "cessible" je n'ai qu'une valeur à neuf de 35/50€. Les 50/75€ qui manque, le distributeur va les revendre à nouveau un autre.

Fini les cas concrets, passons aux exemples universels :
Vous achetez une voiture complète, vous la prêtez ou la vendez, et bien celui qui la récupère n'a que la voiture sans l'autoradio, la boite à gant, les autres sièges autre que celui conducteur. Je pense que la loi française empêcherai ceci dans le monde automobile dans un premier temps.

Imaginez, un garagiste récupère une voiture complète, le constructeur retire "tous ceux qu'il ne considère pas comme essentiels" sans reverser quoi que ce soit à qui que ce soit.
Le garagiste revend la voiture comme avant, au "prix fort", soit le prix d'une voiture d'occasion complète, car il a lui même à racheter au prix fort (le garagiste est honnête comme les revendeurs jeux vidéos). Est-ce normal que le constructeur puisse revendre au prix du neuf les différents équipements qu'il a lui même retiré? Je pense pas.

Deuxième exemple, une maison. Vous achetez une maison avec une cuisine, un salon, deux chambres et une salle de bain/WC à un constructeur, par la suite, vous lui faite ajouter une piscine, un garage et une deuxième salle de bain.
Au moment de la revendre, le seul bien que vous pouvez vendre, ce sont les pièces "vitales" soit la cuisine, une seule des chambres et la salle de bain/WC, soit le salon et une chambre en moins par rapport à l'acquisition de départ et ne parlons pas des extensions faites. Le nouvel acquéreur de la maison est libre de ne se contenter que des pièces vitales, mais si il veut lui aussi avoir accès à la maison complète avec toutes les extensions, il faut qu'il repaye au prix du neuf AU CONSTRUCTEUR et non à l'ancien propriétaire l'accès aux pièces non vitales et autres extensions.

Vous vous rendez compte avec ce dernier exemple du niveau de l'aberration de la situation et à quel point le droit à la propriété est inexistant. C'est ce que nous vivons de plus en plus avec les jeux vidéos, principalement sur console.

Les responsables vous diront que si je veux, si je rachète la maison, mon compte client me donne accès à nouveaux aux pièces. Mais quand on cède ses droits en vendant le bien, c'est sur sa totalité, pas uniquement la base ce qui fait que je suis "propriétaire" d'un contenu que je ne pourrais utilisé que si je rachète le bien que j'ai vendu. Mais dans le jeu vidéo, si on le vend, c'est pas pour le reprendre nécessairement et se protéger derrière cette éventualité est juste pas crédible.

De plus, si une des sociétés de distribution vient à disparaître, rien n'a été mis en place pour pouvoir conserver ce contenu payé après eux. De même, rien les empêche d'arrêter la distribution du contenu.

C'est pourquoi, vu la rapidité de la démocratisation de cette pratique, je souhaite vous alertez sur ce problème qui va toucher tous les types de contenus dématérialisés.

Ma solution, obliger les distributeurs de ces contenus de créer une plateforme de gestion des droits. A partir de cette plateforme, je peux céder temporairement ou définitivement mes droits sur un contenu. Je précise l'aspect temporaire pour le prêt, car si j'achète un jeu en dématérialisé, il est normal que, le temps d'un prêt, je n'aie plus le droit de l'utiliser. En revanche, j'en reste propriétaire et je peux récupérer à n'importe qu'elle moment les droits dessus. Pour les transferts, temporaire ou définitif, le système fournira à tous les utilisateurs un identifiant unique qui permet de communiquer entre eux. Cette solution est facilement réalisable car il existe déjà des intéractions possible entre plusieurs comptes utilisateurs (amis) et Sony par exemple sait gérer la présence d'un contenu sur sa console mais sait aussi empêcher son utilisation suite à une expiration des droits d'utilisation.

Je pense que c'est le minimum à mettre en place pour réguler ce marché de non droits pour les consommateurs car je ne veux pas donner une justification aux pirates qui possèdent ce qu'ils n'ont pas acheter mais là des distributeurs vendent des biens et revendent des biens qu'ils ont expropriés.

[...]
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GaaraPauleta
Et la liberté dans tout ça? Les candidats savent que c'est un droit fondamental de notre société? Chacun est libre de faire ce qu'il veut dans le respect des droits et d'autrui.
C'est un éternel débat : les jeux vidéo ne peuvent être tenus pour responsables d'agissements tels que les meurtres de Toulouse ou de la fusillade de Colombine. Ils ne sont pas les seuls à avoir du contenu violent. Le cinéma et les médias eux-mêmes diffusent des scènes violentes, du contenu sexuel et contraire aux mœurs. Mais, avec le sur-développement d'Internet les 15 dernières années, accéder à des données violentes, pornographiques, immorales et autres, est de plus en plus simple. Faut-il interdire l'utilisation d'Internet?
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RoadKamelot
GazetteSDF Wrote:Perso, je sais pas comment faire mais je voulais envoyer ce courrier aux politiques par rapport au viol de notre droit à la propriété par la pratique des plus en plus courante de DLC pour les solo, voici ce que je voulais envoyer, les politesses en plus :

Nos droits sur les biens dématérialisés

[...] je souhaitai attirer votre attention sur le manque de droits pour nous consommateurs face aux biens dématérialisés, et principalement sur un marché qui prend de plus en plus d'ampleur à savoir celui des jeux vidéos.

Pour faire simple, je vais vous expliquez un cas concret, puis, deux exemple qui vous seront très certainement plus familier.

J'achète un jeu sur le PlayStation Network (PSN de Sony) ou sur le Xbox LIVE (LIVE de Microsoft). J'achète le jeu en dématérialisé, je le télécharge depuis le serveur du prestataire sur ma console. Il est lié à mon compte et à ma console. Si je veux revendre ce jeu que j'ai payé, pas loué, je ne peux pas. Si je veux le prêter à un ami, je ne peux pas.
Donc j'ai acheté un bien que je ne peux prêter ou céder. Si je revends la console, le nouvel acquéreur ne pourra pas en bénéficier non plus! Donc en suis-je réellement propriétaire?

Mais c'est pas le pire car ce n'est pas encore obligatoire d'acheter le jeu en dématérialisé. En revanche, je vais dans un magasin acheter la version physique de mon jeu. Si je le prends neuf, il faut encore que je me connecte pour activer ou télécharger des fonctionnalités de base et surtout que j'ai acheté. Par la suite, ils font en sorte que pour compléter le jeu, ils font des contenu téléchargeable supplémentaires payants (DLC).
Toujours le même problème, si je veux prêter ou vendre mon jeu, je ne peux prêter ou céder uniquement ce qui est accessible sur le CD sans activation, soit souvent 60 à 80% du produit de base et moins de 50% du produit complet avec les DLC. Hors je me suis acquitter de tous les frais d'achats qui peuvent atteindre les 100€ ... Et de "cessible" je n'ai qu'une valeur à neuf de 35/50€. Les 50/75€ qui manque, le distributeur va les revendre à nouveau un autre.

Fini les cas concrets, passons aux exemples universels :
Vous achetez une voiture complète, vous la prêtez ou la vendez, et bien celui qui la récupère n'a que la voiture sans l'autoradio, la boite à gant, les autres sièges autre que celui conducteur. Je pense que la loi française empêcherai ceci dans le monde automobile dans un premier temps.

Imaginez, un garagiste récupère une voiture complète, le constructeur retire "tous ceux qu'il ne considère pas comme essentiels" sans reverser quoi que ce soit à qui que ce soit.
Le garagiste revend la voiture comme avant, au "prix fort", soit le prix d'une voiture d'occasion complète, car il a lui même à racheter au prix fort (le garagiste est honnête comme les revendeurs jeux vidéos). Est-ce normal que le constructeur puisse revendre au prix du neuf les différents équipements qu'il a lui même retiré? Je pense pas.

Deuxième exemple, une maison. Vous achetez une maison avec une cuisine, un salon, deux chambres et une salle de bain/WC à un constructeur, par la suite, vous lui faite ajouter une piscine, un garage et une deuxième salle de bain.
Au moment de la revendre, le seul bien que vous pouvez vendre, ce sont les pièces "vitales" soit la cuisine, une seule des chambres et la salle de bain/WC, soit le salon et une chambre en moins par rapport à l'acquisition de départ et ne parlons pas des extensions faites. Le nouvel acquéreur de la maison est libre de ne se contenter que des pièces vitales, mais si il veut lui aussi avoir accès à la maison complète avec toutes les extensions, il faut qu'il repaye au prix du neuf AU CONSTRUCTEUR et non à l'ancien propriétaire l'accès aux pièces non vitales et autres extensions.

Vous vous rendez compte avec ce dernier exemple du niveau de l'aberration de la situation et à quel point le droit à la propriété est inexistant. C'est ce que nous vivons de plus en plus avec les jeux vidéos, principalement sur console.

Les responsables vous diront que si je veux, si je rachète la maison, mon compte client me donne accès à nouveaux aux pièces. Mais quand on cède ses droits en vendant le bien, c'est sur sa totalité, pas uniquement la base ce qui fait que je suis "propriétaire" d'un contenu que je ne pourrais utilisé que si je rachète le bien que j'ai vendu. Mais dans le jeu vidéo, si on le vend, c'est pas pour le reprendre nécessairement et se protéger derrière cette éventualité est juste pas crédible.

De plus, si une des sociétés de distribution vient à disparaître, rien n'a été mis en place pour pouvoir conserver ce contenu payé après eux. De même, rien les empêche d'arrêter la distribution du contenu.

C'est pourquoi, vu la rapidité de la démocratisation de cette pratique, je souhaite vous alertez sur ce problème qui va toucher tous les types de contenus dématérialisés.

Ma solution, obliger les distributeurs de ces contenus de créer une plateforme de gestion des droits. A partir de cette plateforme, je peux céder temporairement ou définitivement mes droits sur un contenu. Je précise l'aspect temporaire pour le prêt, car si j'achète un jeu en dématérialisé, il est normal que, le temps d'un prêt, je n'aie plus le droit de l'utiliser. En revanche, j'en reste propriétaire et je peux récupérer à n'importe qu'elle moment les droits dessus. Pour les transferts, temporaire ou définitif, le système fournira à tous les utilisateurs un identifiant unique qui permet de communiquer entre eux. Cette solution est facilement réalisable car il existe déjà des intéractions possible entre plusieurs comptes utilisateurs (amis) et Sony par exemple sait gérer la présence d'un contenu sur sa console mais sait aussi empêcher son utilisation suite à une expiration des droits d'utilisation.

Je pense que c'est le minimum à mettre en place pour réguler ce marché de non droits pour les consommateurs car je ne veux pas donner une justification aux pirates qui possèdent ce qu'ils n'ont pas acheter mais là des distributeurs vendent des biens et revendent des biens qu'ils ont expropriés.

[...]



Il faudrait une pétition en plus du message.
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GazetteSDF
RoadKamelot Wrote:Il faudrait une pétition en plus du message.


Peut-être ... mais je sais pas trop où mettre ce message pour lui donner de la notoriété (et il y a des fautes ou des mots manquant que je trouve à chaque relecture qu'il faudrait corriger ...)

Le problème, en temps de crise, on va dire que c'est pas le plus important mais quand on vois comment ils nous ont fait chier avec leur viande halal ... à voir, peut l'envoyer à UFC, les pages FaceBook, et les différentes rédac de JV car il faut que ça cesse, un paye de plus en plus de la location de jeux!
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RoadKamelot
GazetteSDF Wrote:
RoadKamelot Wrote:Il faudrait une pétition en plus du message.


Peut-être ... mais je sais pas trop où mettre ce message pour lui donner de la notoriété (et il y a des fautes ou des mots manquant que je trouve à chaque relecture qu'il faudrait corriger ...)

Le problème, en temps de crise, on va dire que c'est pas le plus important mais quand on vois comment ils nous ont fait chier avec leur viande halal ... à voir, peut l'envoyer à UFC, les pages FaceBook, et les différentes rédac de JV car il faut que ça cesse, un paye de plus en plus de la location de jeux!



Les DLC sont parfaitement légal, ou plutôt tout le monde s'en fout. ( D'ailleurs UFC a déjà porté plainte contre Activision ou EA je ne sais plus lequel des deux, le porte parole n'as même pas eu besoin de sortir des arguments, il a juste dit " c'est ridicule " et le tour été jouer... ).

Même si c'était " illégal " ca n'as aucune importance pour les dirigeants, et même si c'est traduit devant la " justice " ils n'auront qu'à dire qu'il n'obligent personne a acheté et ils gagneront, le seul moyen c'est la dictature du nombre, en gros une pétition.
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GazetteSDF
RoadKamelot Wrote:
GazetteSDF Wrote:
RoadKamelot Wrote:Il faudrait une pétition en plus du message.


Peut-être ... mais je sais pas trop où mettre ce message pour lui donner de la notoriété (et il y a des fautes ou des mots manquant que je trouve à chaque relecture qu'il faudrait corriger ...)

Le problème, en temps de crise, on va dire que c'est pas le plus important mais quand on vois comment ils nous ont fait chier avec leur viande halal ... à voir, peut l'envoyer à UFC, les pages FaceBook, et les différentes rédac de JV car il faut que ça cesse, un paye de plus en plus de la location de jeux!



Les DLC sont parfaitement légal, ou plutôt tout le monde s'en fout. ( D'ailleurs UFC a déjà porté plainte contre Activision ou EA je ne sais plus lequel des deux, le porte parole n'as même pas eu besoin de sortir des arguments, il a juste dit " c'est ridicule " et le tour été jouer... ).

Même si c'était " illégal " ca n'as aucune importance pour les dirigeants, et même si c'est traduit devant la " justice " ils n'auront qu'à dire qu'il n'obligent personne a acheté et ils gagneront, le seul moyen c'est la dictature du nombre, en gros une pétition.


Si ce n'est que je remets pas en cause l’existence et la commercialisation des DLC, je parle surtout des contenu de base comme CatWoman, le sang dans The Saboteur ... bref, tous les trucs que tu actives dès l'achat du jeu.

De plus, je remets pas en cause le système de DLC, je dis juste qu'il est inédit dans l'histoire du commerce et de la propriété qu'on autorise des gens de vendre un objet ou un service et dire à l'acquéreur : "vous vous êtes acquitté du montant nécessaire pour être propriétaire de votre bien, mais en faite, vous n'êtes que locataire";

C'est la façon, si demain, on dit clairement au gens : "Quand vous nous acheter un jeu, vous payez uniquement le support, le reste de la somme n'est qu'un accès à durée indéterminé (quand on arrêtera l'accès ou quand vous vous séparerez du support,CD ou console) je pense que la grogne sur les prix pratiqués va monter!

Mes premier jeux PS2/3, j'en suis propriétaire, je peux les vendre, les prêter ou y jouer sur une autre console en intégralité (au moins pour le solo) maintenant, en 2 / 3 ans, c'est plus vrai, pour reprendre Batman, le premier, je peux faire le solo n'importe où avec le disque, c'est plus vrai pour le 2 où il me manquera 25% du solo ... Et ça, quoi qu'on en dise, c'est pas normal, j'ai acheté, j'ai pas loué! Donc c'est sûr, je me suis pas taper toutes les CGV de chaque jeu, mais je pense qu'il y a tromperie ou escroquerie car rien ne nous informe (même si à force on le sait) qu'on est pas ENTIEREMENT propriétaire de ses jeux!
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