Reportage MediaGen - L'Assassin's Creed Art Exhibition à Tôkyô
par Martial DucheminNous nous sommes rendus à l'Assassin's Creed Art Exhibition de Tôkyô pour y découvrir quelques œuvres à l'effigie du jeu. Voici notre petit reportage sur place.
La saga d’Ubisoft grandit de jour en jour et les noms d’Altair et d’Ezio résonnent facilement dans nos oreilles. Que nous soyons fans ou pas d’Assassin’s Creed, la firme a organisé un petit event regroupant quelques œuvres sur les personnages et les environnements de la licence attirant bon nombre de curieux.
Cette exposition se déroule donc du 11 au 13 août dans les alentours d’Omotesando, Tôkyô. Nous sommes sur place, c’est pourquoi nous avons bougé notre petit derrière pour vous faire plaisir. Premier constat que nous avons pu faire, l’évènement se passe dans un petit coin, en face d’un restaurant, ce qui nous a laissé un goût amer dans la bouche concernant la présentation des peintures. Deuxième chose, la gent féminine est plus présente que la gent masculine. Beaucoup de demoiselles, adorant l’Art, sont venues admirer les productions d'Ubisoft, faisant penser la plupart du temps à des Artworks.
Après notre vidéo, nous avons posé quelques questions aux personnes sur place : comprenez-vous ce que vous regardez ? Aimez-vous les images exposées ? À notre plus grand étonnement, certains ne savaient pas qu'il s’agissait d’un jeu vidéo, mais étaient fascinés par la réalisation des œuvres dévoilées. D’autres s’en rendaient compte en regardant les bandes-annonces de la série diffusée au fond de la salle. Un spectateur qui se divise donc en deux catégories : l’amour de l’Art et du jeu vidéo.
Et un rédacteur passionné ! Un !
De notre côté, nous avons apprécié ce que nous avons vu, même si la chaleur insupportable de l’été nippon nous faisait tourner la tête. Nous avions la possibilité de prendre des clichés et vidéos concernant les répliques et certaines toiles exposées. Cependant, quelques œuvres originales, accrochées dans une zone noire, ne pouvaient laisser place aux flashs de nos appareils. Ces dessins, ou peintures si vous préférez, ont été réalisés par des artistes que certains d’entre vous connaissent. Si nous vous disons Katsuya Terada, Mahiro Maeda, Takashi Okazaki, Tsutomu Nihei ? Vous ne voyez pas ? En revanche, si nous vous disons Blood the Last Vampire, Afro Samurai, Blame ! Abara Biomega ou encore Animetrax, forcément, vous avez une vision plus claire des choses.
C’est donc ces divers artistes qui ont réalisé, selon leur talent et leur vision, une image à l’effigie de la licence. Le rendu est vraiment superbe et pour vous en faire profiter, nous avons pris quelques photos en cachette. Près de l’entrée, se trouvaient des goodies, tels que des cartes postales, t-shirts, et autres posters à divers prix. À savoir que des reproductions de quelques œuvres étaient en vente au gentil petit prix de 30 000 yens (NDLR : soit environ 280 euros).
Pour mieux vous donner un large aperçu des choses, vous pourrez profiter dans les pages suivantes d’un tout petit reportage et des photos interdites.
Commenter 11 commentaires
Tōkyō
Comment avoir raison mais passer pour un ignare. Sache mon cher qu'il existe deux méthode de transcription du japonais : la méthode hepburn qui préconise le macron (la barre horizontale) et la méthode kunrei qui préconise l'accent circonflexe nettement plus pratique pour nous autres français puisque, ô joie, l'accent est directement disponible sur nos clavier (contrairement au macron pour lequel il faut connaître l'unicode).
Une fois de plus, merci pour tes commentaires qui font toujours autant avancer les choses qui te font toujours autant passer pour un amateur de confiture auprès des autres.
Pourquoi la confiture ? Parce que c'est comme la culture : moins on en a, plus on l'étale
J'avoue que j'avais pas l'intention de faire une petite vidéo mais c'est ma miss qui m'a convaincu d'en faire une. Bref c'est toujours sympa de voir des images en mouvement je pense ^^.
Merci a tous en tout cas
Qui est l'orthographe courante, et même celle qui devrait être la seule utilisée en France.
Bref.
Merci pour le reportage