Le célèbre hackeur français pourrait bien quitter la scène du jailbreak.
Apple a présenté sa nouvelle solution mobile il y a maintenant plus d'une semaine et les différents responsables du monde underground se sont déjà lancés à l'assaut du nouveau-né. Ce qui est sûr, c'est que les commentaires concernant la prochaine version du système d'exploitation de la firme ne manquent pas, à l'image de ceux de Steve Wozniak. D'un côté, il y a les utilisateurs qui trouvent qu'iOS est devenu beau et qu'il apporte de nouvelles fonctionnalités agréables. De l'autre côté, ceux qui n'apprécient pas ce design et pensent qu'une grande partie des ajouts ont été "piqués" au jailbreak ou à son rival : Android.
C'est au tour du célèbre hackeur français pod2g de donner son avis concernant l'iOS 7, et le moins que nous puissions dire, c'est que son retour est assez salé. Certes, il n'est pas représentatif de la pensée universelle des utilisateurs d'iOS, mais il est un membre important de la communauté underground sans qui plusieurs jailbreaks n'auraient pas vu le jour. Voyons donc ce que dit le jeune homme.
De bas en haut, puisque c'est le sens de lecture de Twitter, voici ce que dit pod2g :
Après plusieurs jours d'utilisations de la bêta 1 de l'iOS 7, je dois admettre que je pense à passer sur un appareil Android.
À mon humble avis, cette version d'iOS est la pire qu'Apple ait faite depuis bien longtemps.
Le design d'iOS 7 est moche, c'est lent, l'autonomie de la batterie est la plus mauvaise que j'ai pu voir et c'est plein de bugs et de crashes. OK c'est une bêta, mais quand même...
Je suis vraiment déçu par ce que j'ai vu sur l'iOS 7. Il n'y a pas de révolution. Pas de grosse nouveauté. Juste des dessins d'enfants.
Le hackeur est vraiment dur avec le nouvel OS et ne mâche pas ses mots. De plus, ayant pratiqué de nombreuses bêtas des anciennes versions d'iOS, il parle en connaissance de cause. Peut-être Apple a-t-elle voulu trop en faire d'un seul coup. Mais ce qui est sûr, c'est que son départ serait une grande perte pour le jailbreak.