Rien de neuf, mais nous ne nous en lassons pas.
Il y a des jeux tels que celui-ci où le simple fait d'en voir ne serait-ce que quelques secondes rend tout simplement joyeux et plein d'envie.
Ce n'est certes pas la première fois que nous voyons en mouvement Ni no Kuni: Shiroki Seihai no Joô (qui vient d'être renommé en Ni no Kuni: Wrath of the White Witch pour l'Occident), mais à chaque fois, c'est avec un intérêt particulier à la limite de l'émerveillement. Le cel-shading fut certainement une des techniques de rendu qui nous a le plus rapprochés des dessins animés en jeu, mais rarement un titre nous aura fait autant envie. Ça respire la féérie, le courage juvénile et le regard candide sur le monde, mais nous n'arrivons pas à nous en lasser : Ni no Kuni réussit toujours à faire son petit effet. Voici donc trente secondes d'émerveillement à consommer sans modération.