Vous n'en avez pas assez ? Nous non plus (et nous assumons).
Plus que quelques jours avant notre rendez-vous de la Saint-Valentin en plein mois de juin (désolé, nous n'avions rien de mieux en stock) avec Juliet Starling, l'héroïne de choc et surtout de charme de Lollipop Chainsaw qui sera aux prises, rappelons-le parce que cela a tendance à passer à la trappe, avec tout un bahut américain transformé en zombies.
Pas de bol pour les cadavres ambulants, ils ont choisi le lycée de San Romero qui a, justement, un membre d'une éminente famille de pourfendeurs d'êtres surnaturels en son sein. Double "pas de bol" : ils se sont décidés à frapper le jour des dix-huit ans de Juliet alors qu'elle s'est vu offrir une tronçonneuse à cœurs flambante neuve ainsi que moult accessoires pour en faire un engin de destruction non remboursé par la "Sécu". Pour couronner le tout, les zombies sont dirigés par des lycéens qui ont mal tourné et qui sont devenus soit gothique en costard, soit punk croisé avec Iggy Pop ou encore shaman funky adepte de synthés des années 80 et de la couleur rose. Bref, Lollipop Chainsaw devrait être un digne produit issu des cerveaux profondément malades (et c'est ce que nous aimons chez eux) de Grasshopper Manufacture et de son illustre directeur, Suda Goichi amicalement surnommé Suda 51 (les chiffres 5 et 1 se lisent "Go" et "Ichi" en Japonais).
Puis, s'il vous reste encore des yeux après tant de formes, de couleurs flashies et de tenues de mauvais goût : voici une dernière vidéo qui devrait terminer de vous les achever avec un petit reportage sur le parcours tokyoïte des deux interprètes réels de Juliet, Jessica Nigri et Mayu Kawamoto.