La Bolivie, théâtre des actions du prochain Ghost Recon, n'a pas vraiment apprécié l'image reflétée dans le jeu d'Ubisoft.
Ce mardi sort Ghost Recon Wildlands sur ordinateurs et consoles de salon, et le titre développé par Ubisoft se déroule en Bolivie, où la situation fictive dépeint un pays ayant sombré dans l'anarchie et désormais gouverné par les trafiquants de drogues et autres cartels.
Une image virtuelle qui n'a pas du tout plu à la Bolivie, qui a convoqué cette semaine l'ambassadeur français dans le pays. Pour rappel, le siège social d'Ubisoft se situe dans l'Hexagone, à Rennes. Le ministre de l'Intérieur Carlos Romero a en effet écrit une lettre à l'ambassade et se réserve même le droit d'engager une action en justice. Le Bolivien indique tout de même qu'il préfèrerait que tout cela se déroule dans une négociation diplomatique.
De son côté, Ubisoft rappelle qu'il s'agit d'une œuvre de fiction, et que la Bolivie a été choisie surtout pour « ses paysages magnifiques et sa culture riche » :
Même si le jeu se permet d'imaginer une réalité différente de celle existante en Bolivie aujourd'hui, nous espérons que le monde in-game représente fidèlement la beauté topographique du pays.
La date de sortie de Ghost Recon Wildlands est fixée au 7 mars 2017 sur PC, PlayStation 4 et Xbox One.
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