Encore des zombies.
Déjà présent en version jouable à l’E3, en juin dernier (lire nos impressions), Dying Light s’est une nouvelle fois laissé approcher à l’occasion de la gamescom. Forcément, vu la popularité des zombies par les temps qui courent, nous n’avons pas manqué la chance de nous replonger dans cette aventure sanglante où, d’ailleurs, il n’y a pas que les temps qui courent…
Au cas où vous ne le sauriez pas, Dying Light est développé par le studio Techland et invite les joueurs à investir un monde en open-world, graphiquement propre à défaut d’être clinquant, où le level design sert pleinement la possibilité de faire appel au Parkour pour se déplacer (verticalement comme horizontalement). Autrement dit, le héros bouge telle une flèche et n’est pas sans rappeler Faith de Mirror’s Edge. Ces aptitudes physiques sont présentes pour pallier la présence de nombreux ennemis, lents mais suffisamment menaçants lorsqu’il s’agit de d’aller d’un point A à un point B.
Manette DualShock 4 en main, notre objectif était d’activer des relais électriques disséminés ça et là, l’idée étant de suivre le point jaune sur la carte (vous avez le lieu, libre à vous de choisir le chemin). Sans surprise, le dernier endroit où se situait le levier à activer nous a fortement éloignés d’un lieu sûr et fait perdre suffisamment de temps pour que la nuit tombe. C’est là que les choses se corsent, puisqu’au coucher du soleil, les goules deviennent enragées et rendent le trajet du retour périlleux à souhait. Pour faire simple, le gameplay change du tout au tout : ici, il s’agit de courir, courir et… courir.
Bien sûr, il ne faudra pas trop compter sur le combat au corps-à-corps lors des phases nocturnes. Pour nous faciliter un peu la tâche, nous pourrons utiliser quelques pièges à même de nous débarrasser de plusieurs ennemis en même temps (rassurez-vous, il y en aura toujours autant). Ce n’est pas grand-chose, mais c’est toujours ça de pris pour se redonner un peu d’espoir, en attendant que la lumière revienne. Dans le Dying Light, il faudra attendre l’année prochaine. D’ici-là, gageons que nous en découvrirons davantage, notamment sur la variété des objectifs/des environnement/des situations et les aspects de psychologie et de survie (seront-ils poussés à leur paroxysme ?). Pour le moment, cette production Techland se contente d’être un open-world apocalyptique avec des scènes sacrément stressantes.