PREVIEW de Groundhog Day: Like Father Like Son, la suite en VR de L'Histoire sans fin

Un jour sans fin, Groundhog Day de son nom original, est un film réalisé par Harold Ramis en 1993. Bill Murray y incarne Phil Connors, présentateur météo à la télévision, parti faire un reportage sur la fête de la marmotte, le 2 février, dans un patelin perdu. Dans l'incapacité de repartir le jour même, il loge dans l'hôtel local et se réveille de nouveau au matin du 2 février. Cette bizarrerie va durer le temps du film, mais nous ne spoilerons pas l'histoire au cas où vous auriez raté ce film devenu culte. Groundhog Day: Like Father Like Son est donc un jeu vidéo en réalité virtuelle qui est la suite directe du film et il est développé par Tequila Works, créateur de RiME, entre autres. Cette fois, c'est le fils du héros, Phil Connors Jr., qui se trouve bloqué à Punxsutawney dans une boucle temporelle. Nous l'incarnons et devons résoudre des énigmes diverses et variées pour avancer dans l'histoire sans fin.

La plus grosse déception du titre, c'est qu'en l'état, nous n'avons ressenti aucun rapport avec le film.

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Pour cette session de prise en main, nous avions l'opportunité de tester trois des mini-jeux qui seront dans la version finale. Le premier, c'était un puzzle-game avec des grains de café, le second sur la réparation de la machine à café et le troisième sur des graffitis à faire sur les murs. L'expérience avec les grains de café était plutôt sympa et il fallait les atomiser en actionnant des mécanismes de plus en plus complexes. Franchement, c'est la partie la plus amusante que nous avons testée lors de cette preview.

Ensuite, il fallait intervenir pour réparer la machine à café qui avait un problème de pression. Nous nous sommes donc retrouvés devant une sorte de Pipe Mania en VR où il fallait assembler des morceaux de tubes afin de rétablir la bonne circulation de la vapeur. Si le puzzle à résoudre pour arriver à remettre en route la machine n'est pas trop compliqué en soi, une certaine imprécision dans la manipulation des morceaux de tuyaux nous a rendu l'expérience un peu pénible. Une ultime déception est arrivée lorsque, enfin, nous sommes arrivés à tout remettre en place, avec une absence totale de gratification, mis à part un simple pschitt et un retour direct au menu de sélection. 

Enfin, notre dernière expérience du jour était celle où il fallait peindre sur les murs avec sa bombe de peinture. Autant vous dire que pour les gentils garçons que nous sommes, pouvoir se défouler en barbouillant les murs avec de la peinture était une idée qui, à priori, nous plaisait bien. En pratique, un minot vêtu d'un bonnet nous a expliqué qu'il fallait peindre, avec notre bombe, une silhouette qui était déjà esquissée sur le mur, le tout sans trop déborder. Cette fois point d'imprécision dans les mouvements et cette première étape s'est plutôt bien passée. C'est d'ailleurs très bien fait et donne vraiment l'impression d'être un vilain tagueur. En revanche, avec la seconde étape, une certaine difficulté arrive et il fallait, cette fois, peindre de fines bandes sur notre précédente œuvre, toujours sans trop déborder. De suite, la fête est moins folle et notre formateur miniature nous a quittés tant il nous a trouvé nuls. Retour au menu. Fin. Frustrant.

Nos premières impressions : Peut mieux faire !

La plus grosse déception du titre, c'est qu'en l'état, nous n'avons ressenti aucun rapport avec le film et c'est décevant. Graphiquement, nous sommes dans un univers très cartoon et dans la moyenne de ce genre de jeu. Cela fait le job sans plus. Côté bande-son, là aussi nous sommes dans une moyenne qui, au moins, ne nous a pas donné envie de couper la musique ou les effets. Difficile de se faire une réelle idée de ce que sera le jeu final avec ces trois mini-jeux inégaux en réalisation, mais ils ne sont pas rassurants et encore moins motivants à en voir plus. Pour autant, nous nous pencherons quand même sur le titre final dès qu'il sera possible d'en proposer un test complet. À suivre, donc.